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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Barlieu , est le même dans toute les villes Cher , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Barlieu est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.
La commune faisait partie du canton de Vailly-sur-Sauldre ; depuis 2015, à la suite du redécoupage des cantons du département, elle fait partie du canton de Sancerre,.
Barlieu est une commune rurale,. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee[4][5].
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction d’Aubigny-sur-Nère, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[6][7].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (91,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55,9 %), prairies (18,3 %), zones agricoles hétérogènes (17,4 %), forêts (8,4 %).
L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l’IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Barlieu est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Un site publié par le BRGM permet d’évaluer simplement et rapidement les risques d’un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[10].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d’engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 290 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 290 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l’exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM,.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999.
Le , la bulle du pape Innocent II confirma la propriété de plusieurs biens à l’abbaye Saint-Satur, dont l’église de Barlieu : « Ecclesiam de Barlocco ». L’église Saint-Germain devenait définitivement la propriété de l’abbé et des chanoines réguliers de Saint-Satur. En 1164, la bulle du pape Alexandre III confirma cette propriété.
Un prieuré curé dépendant des chanoines réguliers de Saint-Satur y est joint, simple lieu de résidence du chanoine régulier qui dessert la paroisse. L’aumônerie de Barlieu dépendait de l’archevêque de Bourges.
Ancien bourg fortifié comportant une enceinte, le village passe à la maison de Sancerre en 1152. En 1190, avant son départ pour les Croisades, le comte Étienne I, comte de Sancerre, octroie aux habitants de Barlieu la coutume de Lorris, qui est alors une ville fermée de murs, indépendante, où se tiennent des marchés et des foires.
Au début du XV siècle, la seigneurie de Barlieu est vendue à Martin Gouges de Charpaigne, évêque de Clermont, chancelier du duc de Berry. Jacques de Montmorin en hérite, tuteur de son fils Pierre (héritier de son oncle Martin décédé), et la vend à Jacques Cœur en 1448, pour la somme de deux mille écus d’or. En 1458, à la liquidation des biens de ce dernier, la seigneurie de Barlieu est achetée par Jean V de Bueil, comte de Sancerre, et revient ainsi au comté de Sancerre, par l’intermédiaire de la baronnie de Vailly. La terre de Barlieu reste dans la famille de Bueil jusqu’en 1628, puis elle est acquise par Henri Bourbon II prince de Condé, gouverneur de Berry, et demeure dans cette famille jusqu’à Louise Élisabeth de Bourbon-Condé, comtesse de Sancerre, qui meurt en 1775.
À partir de 1785, Louis XVI à partir d’un contrat d’échange révoqué par l’assemblée nationale en 1791, devient seigneur de Barlieu. Plus tard, Barlieu est l’une des sept communes du premier canton de Vailly, lui-même incorporé au district d’Aubigny-sur-Nère le 16 novembre 1790. En août 1801, le village est définitivement rattaché au canton de Vailly-sur-Sauldre.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[15].
En 2019, la commune comptait 345 habitants, en diminution de 9,69 % par rapport à 2013 (Cher : −3 %, France hors Mayotte : +2,17 %).