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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Boucoiran-et-Nozières , est le même dans toute les villes Gard , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Boucoiran-et-Nozières est une commune française située dans le centre du département du Gard, en région Occitanie.
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gard, le ruisseau de l’Auriol et par divers autres petits cours d’eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique.
Boucoiran-et-Nozières est une commune rurale qui compte 981 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l’aire d’attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Boucoirannais ou Boucoirannaises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : la Gare de Ners, inscrite en 1987, et l’oppidum du Grand Ranc, inscrit en 1990.
La partie urbanisée est constituée des deux hameaux de Boucoiran au nord et Nozières au sud, le long de la RN 106, à mi-chemin de Nîmes et Alès.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l’encadré suivant[1].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l’Énergie et du Climat complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Rouvière », sur la commune de La Rouvière, mise en service en 1986 et qui se trouve à 8 km à vol d’oiseau[7][Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,2 °C et la hauteur de précipitations de 918,8 mm pour la période 1981-2010. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nimes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 22 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000, à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020.
La commune est traversée par la route nationale 106 qui relie Nîmes à Alès.
La commune est aussi traversée par la ligne ferroviaire de Saint-Germain-des-Fossés à Nîmes-Courbessac couramment appelée « ligne des Cévennes ». Trois gares se trouvent sur sont territoire : la gare de Boucoiran et la gare de Nozières – Brignon, deux halte voyageurs desservies par les TER Occitanie, et la gare de Ners, fermée depuis 1973 (voir ci-dessous).
L’inventaire des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1 est recensée sur la commune[13] : le « Gardon d’Anduze et Gardon » (461 ha), couvrant 11 communes du département et deux ZNIEFF de type 2[Note 5][13] :
Boucoiran-et-Nozières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 2][I 3].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des forêts et milieux semi-naturels (62,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (61,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55 %), cultures permanentes (26,2 %), zones agricoles hétérogènes (9,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,8 %), zones urbanisées (2,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,9 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Boucoiran-et-Nozières est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d’un barrage. Un site publié par le BRGM permet d’évaluer simplement et rapidement les risques d’un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d’eau et par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d’eau, notamment le Gard et le ruisseau de l’Auriol. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 1995, 2001, 2002, 2005 et 2014,.
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux. Cet aléa est susceptible d’engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 94,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 387 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 386 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l’exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24][Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l’inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune.
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d’une canalisation de transport d’hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence.
La commune est en outre située en aval du barrage de Sainte-Cécile-d’Andorge, un ouvrage de classe A doté d’un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[28].
Martiale Espaze est jugée pour sorcellerie en 1491 à Boucoiran.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].
En 2019, la commune comptait 981 habitants, en augmentation de 15,14 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 380 ménages fiscaux, regroupant 939 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 150 €[I 4] (20 020 € dans le département).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s’élève à 601 personnes, parmi lesquelles on compte 78,5 % d’actifs (65,7 % ayant un emploi et 12,8 % de chômeurs) et 21,5 % d’inactifs,. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu’il était inférieur à celui du département en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l’aire d’attraction de Nîmes, du fait qu’au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle,. Elle compte 178 emplois en 2018, contre 158 en 2013 et 143 en 2008. Le nombre d’actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 397, soit un indicateur de concentration d’emploi de 44,8 % et un taux d’activité parmi les 15 ans ou plus de 64,3 %[I 10].
Sur ces 397 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 69 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants. Pour se rendre au travail, 86,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4 % les transports en commun, 6 % s’y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,5 % n’ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
70 établissements sont implantés à Boucoiran-et-Nozières au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d’activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13][I 13].
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l’hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu’il représente 30 % du nombre total d’établissements de la commune (21 sur les 70 entreprises implantées à Boucoiran-et-Nozières), contre 30 % au niveau départemental.
La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant le centre du département du Gard. En 2020, l’orientation technico-économique de l’agriculture[Note 14] sur la commune est la viticulture.
Le nombre d’exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 34 lors du recensement agricole de 1988 à 22 en 2000 puis à 14 en 2010[37] et enfin à 13 en 2020, soit une baisse de 62 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l’échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[38][Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 540 ha en 1988 à 445 ha en 2020. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 16 à 34 ha[37].