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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Bourg-du-Bost , est le même dans toute les villes Dordogne , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Bourg-du-Bost est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
La commune de Bourg-du-Bost est située dans le quart nord-ouest du département de la Dordogne, en Ribéracois. Elle est limitrophe du département de la Charente et son territoire est situé en rive gauche de la Dronne.
À l’intersection des routes départementales (RD) 20, 100 et 100E1, le bourg de Bourg-du-Bost est situé, en distances orthodromiques, sept kilomètres à l’ouest-nord-ouest du centre-ville de Ribérac.
La commune est également desservie par la RD 20E4.
La commune est limitrophe de six communes dont une dans le département de la Charente. Son territoire est distant d’environ 500 mètres de ceux de Ribérac au sud-est et de Saint Privat en Périgord au sud-ouest.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d’une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Bourg-du-Bost est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d’alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « n 757 – Ribérac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2][3] et sa notice associée.
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L’altitude du territoire communal varie quant à elle entre 47 m à l’extrême nord-ouest, en aval du lieu-dit Moulin de Ribérac, là où la Dronne quitte la commune et sert de limite entre celles de Petit-Bersac et de Saint-Séverin, et 115 ou 116 m[5][Note 1] à l’extrême sud-est, près du lieu-dit Emboin,, en limite de la commune de Vanxains.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s’organisent en huit unités paysagères et quatorze sous-unités[9]. La commune est dans le Ribéracois, une région naturelle possédant un relief vallonné avec des altitudes moyennes comprises autour des 130-160 m, sculpté par la Dronne et ses nombreux affluents. Les paysages sont ondulés de grandes cultures dont les vastes horizons contrastent avec les paysages plus cloisonnés de la Dordogne,.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 7,16 km[5][12][Note 3]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l’IGN, est quant à elle de 7,27 km[3].
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne. Elle est drainée par la Dronne, le Vindou et par un petit cours d’eau[Note 4][Note 5][Note 6], qui constituent un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale,.
La Dronne, d’une longueur totale de 200,56 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Bussière-Galant et se jette en rive droite de l’Isle — dont elle est le principal affluent — à Coutras en Gironde, au lieu-dit la Fourchée, face à la commune de Sablons,. Elle borde le territoire communal au nord sur quatre kilomètres et demi, face à Allemans et Comberanche-et-Épeluche.
Le Vindou marque la limite communale sur plus d’un kilomètre et demi au sud-ouest, face à Chassaignes.
Le territoire communal est couvert par le schéma d’aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle – Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l’Isle et de la Dronne, d’une superficie de 7 500 km, a été approuvé le . La structure porteuse de l’élaboration et de la mise en œuvre est l’établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le .
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l’éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu’en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[22].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l’encadré ci-après.
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l’Énergie et du Climat complétée par des études régionales[26] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993 et qui se trouve à 9 km à vol d’oiseau[28][Note 10], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 50 km[30], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000, à 13,1 °C pour 1981-2010[32], puis à 13,3 °C pour 1991-2020.
Bourg-du-Bost est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Ribérac, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[37][38].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (81,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l’IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 3].
Outre le bourg de Bourg-du-Bost proprement dit, le territoire se compose d’autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits :
Alors que l’église de Bourg-du-Bost a été édifiée au XII siècle, les premières mentions écrites connues du lieu datent du siècle suivant sous les formes Vicus Nemoris de Bosc « village de la forêt » et Ecclesia de Bost « église de Bost » (cette dernière mention dans un registre)[41][42]. En 1382, il est appelé Burgus Nemoris signifiant le « bourg du bois », tout comme son nom francisé actuel,.
La première partie du nom dérive du latin médiéval burgus qui correspondait à un hameau, puis ultérieurement à une localité ; Bost, tout comme son équivalent Bosc, proviennent du terme germanique °bosk signifiant « bois ».
En occitan, la commune porte le nom de Lu Borg dau Bòsc.
Le lieu a été occupé dès le XII siècle, période à laquelle a été bâtie l’église actuelle[41].
La commune a été créée lors de la Révolution française.
Un temple protestant a été édifié au sud-est du bourg au XIX siècle puis a accueilli les locaux de la mairie en 1914, avant de devenir une salle des fêtes[44].
Bourg-du-Bost avait une gare sur la ligne de Ribérac à Parcoul – Médillac, ouverte aux voyageurs de 1906 à 1940.
Dès 1790, la commune de Bourg-du-Bost est rattachée au canton de Ribérac qui dépend du district de Ribérac jusqu’en 1795, date de suppression des districts. En 1801, ce canton dépend de l’arrondissement de Ribérac jusqu’en 1926, date à laquelle ce dernier est supprimé et ses communes rattachées à l’arrondissement de Périgueux.
Les rattachements de la commune au canton et à l’arrondissement ne sont pas modifiés lors de la réforme cantonale de 2014 applicable lors des élections départementales de mars 2015, ni lors de la réorganisation des limites d’arrondissement de janvier 2017[46].
Bourg-du-Bost a d’abord fait partie de la communauté de communes du Ribéracois. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 en communauté de communes du Périgord Ribéracois.
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020,.
Dans le domaine judiciaire, Bourg-du-Bost relève :
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[53].
En 2019, la commune comptait 218 habitants, en diminution de 8,79 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
En 2015, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 97 personnes, soit 41,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (dix-neuf) a presque triplé par rapport à 2010 (sept) et le taux de chômage de cette population active s’établit à 19,1 %.
Au , la commune compte vingt établissements, dont neuf au niveau des commerces, transports ou services, quatre dans la construction, trois dans l’industrie, trois dans l’agriculture, la sylviculture ou la pêche, et un relatif au secteur administratif[57].