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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Brossac , est le même dans toute les villes Charente , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Brossac est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Ses habitants sont appelés les Brossacais et les Brossacaises.
Situé à la lisière nord-est de la forêt de la Double saintongeaise et dans le Sud-Charente, Brossac, chef-lieu de canton, est situé sur la D 731, axe routier sud-est nord-ouest entre Chalais et Cognac par Barbezieux, ancienne voie de passage de l’époque romaine entre Saintes et Périgueux.
Brossac est à 9 km au nord-ouest de Chalais et 18 km au sud-est de Barbezieux.
Elle est aussi à 16 km de Montmoreau, 17 km de Montguyon et de Blanzac, 39 km d’Angoulême, 69 km de Bordeaux.
D’autres routes départementales de moindre importance passent dans la commune, comme la D 7 en direction d’Angoulême au nord et Montguyon au sud, et la D 2 qui passent au bourg, la D 70 vers Châtignac, la D 191 vers Saint-Vallier, la D 195 dans la vallée du Palais, la D 68 qui fait la limite ouest.
La gare la plus proche est celle de Chalais, desservie par des TER à destination d’Angoulême et de Bordeaux.
Hormis le bourg de taille assez compacte, l’habitat est très dispersé en de petites fermes et lieux-dits : la Croix Blanche, Maine Robine, Maine Bernard, la Coue d’Auzenat, la Comté, chez Rabanier, la Gare, la Côte, etc..
La commune est partagée entre les coteaux calcaires crayeux du Campanien (Crétacé supérieur) sur sa moitié nord-est, bourg compris, et les terrains composés de sable kaolinique, d’argiles et de galets, dépôts datant du Tertiaire, de la forêt de la Double saintongeaise pour sa moitié sud-ouest,,.
Le relief est sous forme de collines aux flancs assez marqués. Une cuesta faisant face au nord-est marque la limite entre la partie boisée du sud-ouest et la Champagne calcaire du nord-est. Les altitudes varient entre 75 m au bord du Palais en limite sud (la tête de la vallée de la Viveronne est aussi à cette altitude), et à 184 m sur une crête calcaire au nord, en limite avec la commune de Châtignac; mais la butte du château d’eau situé près du bourg est à 183 m d’altitude (ancien moulin à vent).
Le bourg de Brossac, à flanc de cuesta, s’étage entre 125 et 160 m d’altitude.
La commune est située dans le bassin versant de la Charente et le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne. La ligne de partage des eaux passe à l’extrême nord de la commune, chez Rabanier. La Maury, naissant à Châtignac, y limite la commune. Elle est drainée par le Palais, la Maury, la Poussonne, la Viveronne, un bras des lorettes, la Vauzelle et par divers petits cours d’eau, qui constituent un réseau hydrographique de 24 km de longueur totale[8][Carte 1].
Le Palais, d’une longueur totale de 31,1 km, prend sa source près de la limite nord de la commune, à la Font Lafaye. Il arrose l’ouest de la commune et coule vers le sud-ouest et se jette dans le Lary dans les Charentes-Maritimes, à Cercoux, après avoir traversé 11 communes.
La Maury, d’une longueur totale de 24,1 km, prend sa source dans la commune de Châtignac et se jette dans le Né à Ladiville, après avoir traversé 12 communes.
La Poussonne, d’une longueur totale de 10,4 km, prend sa source dans la commune et se jette dans le Palais à Saint-Vallier, après avoir traversé 3 communes.
La Viveronne prend aussi sa source sur la commune, à La Coue d’Auzenat. Elle coule vers le sud-est et rejoint la Tude, affluent de la Dronne, à Chalais. D’une longueur totale de 11,5 km, elle traverse 5 communes.
De par sa nature argileuse, la partie sud-ouest de la commune est occupée par de nombreuses retenues d’eau, dont l’étang Vallier situé sur un affluent du Palais qui naît au pied du bourg.
Le territoire communal est couvert par les schémas d’aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Isle – Dronne ». Le SAGE « Charente », dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d’une superficie de 9 300 km, a été approuvé le . La structure porteuse de l’élaboration et de la mise en œuvre est l’établissement public territorial de bassin Charente[13]. Le SAGE « Isle – Dronne», dont le territoire regroupe les bassins versants de l’Isle et de la Dronne, d’une superficie de 7 500 km, a été approuvé le . La structure porteuse de l’élaboration et de la mise en œuvre est l’établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[14]. Il définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le .
Le climat est océanique aquitain et semblable à celui de la ville de Cognac où est située la station météorologique départementale.
Brossac est une commune rurale,. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee[18][19]. La commune est en outre hors attraction des villes,.
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (59 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (31,1 %), forêts (30,8 %), zones agricoles hétérogènes (27,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,5 %), zones urbanisées (1,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,2 %), prairies (0,5 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 2].
Les formes anciennes sont Brozac en 1143, Brocciaco et Broziaco en 1278, Brociaco, Brocac en 1109-1121[24].
L’origine du nom de Brossac remonterait à un nom de personnage gallo-romain Broccius (de racine gauloise brocco-‘, signifiant blaireau) auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait au « domaine de Broccius »,.
Lieu de passage déjà existant à l’époque romaine (variante de la voie Saintes-Périgueux-Cahors), on peut trouver les ruines d’une ancienne villa gallo-romaine à Lacou-Dausena, à 300 mètres au nord de la voie supposée. Une portion d’aqueduc descendant de la source des Fontenelles et alimentant cette villa a aussi été retrouvée,.
Les plus anciens registres de l’état civil remontent à 1620.
Au Moyen Âge, la plus grande partie de cette paroisse de Saintonge formait une seigneurie appartenant à l’évêque de Saintes, auquel devaient hommage lige les possesseurs des fiefs voisins : Durfort et La Cour, dans la paroisse, et des parties des paroisses de Passirac pour le Châtelard, et Bardenac et Saint-Vallier pour Coyron, ces derniers fiefs étant aussi réclamés par le marquis de Barbezieux.
Le fief de Durfort, possédé par les Vigier, est passé en 1725 à la famille de Lafaye, et le fief a pris ce nom. Le Bourgoin, au nord de la commune, était aussi possédé par cette dernière famille. À la Révolution, Pierre de Lafaye du Bourgoin était avocat au parlement de Bordeaux et juge sénéchal de Brossac.
Lors de la première moitié du XX siècle, Brossac était aussi desservi par la ligne à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes entre Barbezieux et Chalais, et possédait une petite gare le long de la route nationale, actuellement D.731.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].
En 2019, la commune comptait 464 habitants, en diminution de 8,48 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d’un âge inférieur à 30 ans s’élève à 19,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l’inverse, le taux de personnes d’âge supérieur à 60 ans est de 49,2 % la même année, alors qu’il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 235 hommes pour 240 femmes, soit un taux de 50,53 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s’établissent comme suit.
La viticulture occupe une petite partie de l’activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d’appellation d’origine contrôlée du cognac.
Dans les années 1980, la municipalité souhaite développer le tourisme sur la commune et construit un village de vacances dans la pinède au sud de l’étang Vallier. Basé sur la location saisonnière, il fera venir de nombreux touristes, essentiellement pendant l’été, notamment du nord de l’Europe (hollandais, belges, allemands, anglais), malgré ses coûts d’entretien importants pour la commune.
À la même période, de l’autre côté de l’étang, ouvre le camping municipal Les Châtaigners de Brossac. L’étang Vallier devient alors un espace de loisirs prisé par les vacanciers et les habitants de la région. La présence d’une ferme équestre à proximité complétera encore l’offre touristique.
Au début des années 1990, le village de vacances est devenu une charge pour la municipalité. Les constructions sont vieillissantes et les touristes se font plus rares. Le site est alors vendu à un entrepreneur belge qui mettra en place un autre modèle de développement. Les maisons de vacances ne sont plus seulement proposées à la location mais sont vendues comme résidences secondaires. Une centaine de nouvelles maisons de vacances sont construites, y compris de l’autre côté de l’étang Vallier. Un spa, sauna et minigolf sont également construits. Le village de vacances devient Etang Vallier Resort, et le restaurant, anciennement le Clapotis devient Quai sud[38]. En été, la population sur le site monterait jusqu’à 6 000 résidents.
L’emprise spatiale du village de vacances dépasse actuellement celle du centre villageois.
L’école est un RPI entre Brossac, Oriolles et Passirac. Brossac accueille l’école maternelle Alfred-de-Vigny et l’école élémentaire Honoré-de-Balzac. Les écoles d’Oriolles et de Passirac sont aussi des écoles élémentaires.
Le secteur du collège est Chalais. Les lycées sont à Barbezieux et Angoulême.
En tant que chef-lieu de canton, Brossac possède une gendarmerie.
L’église paroissiale Notre-Dame de Brossac date du XII siècle. Initialement dans le diocèse de Saintes, elle fut unie à la mense épiscopale. En forme de croix latine, sa nef fut revoûtée en croisée d’ogives au XVe siècle; la façade fut remaniée à cette époque. Le clocher carré et l’absidiole du latéral nord ont été refaits du XIX siècle[40]. Elle fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis 1985.
La villa gallo-romaine de la Coue d’Auzenat, ou Lacou-Dausena (vestiges) fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1875.
L’aqueduc alimentant la villa (vestiges) fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1889.
Les fonctions de défense de ce lieu remontent à des sources écrites au début du Moyen Âge. Le château avait pour but de contrôler les fiefs locaux ainsi que l’ancienne route gallo-romaine Saintes – Périgueux – Cahors.
Depuis la fin du Moyen Âge, le terrain et le parc du château en tant que fief Dufort appartenaient à la famille Vigier de La Cour.
Par la suite, en 1725, le terrain et le château devinrent la possession de la famille de Lafaye. Du nom de ce lieu, cette famille a commencé à utiliser le surnom de Bourgoin. En 1874, Pierre-François de Lafaye du Bourgoin reconstruit le château en petit palais de style Napoléon III.
En 1940-1944, le château a été kommandantur pendant l’occupation allemande.
Dans les années 1990, il devient une discothèque, le « Paradise ».
L’étang Vallier, à la lisière de la Double saintongeaise, offre une baignade en été et un village de vacances.