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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Cenon , est le même dans toute les villes Gironde , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Cenon (prononcé [sənɔ̃]) (en occitan/gascon : Senon) est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine faisant partie de Bordeaux Métropole. Ses habitants sont appelés les Cenonnais.
Située dans l’Entre-deux-Mers, sur la rive droite de la Garonne, Cenon est l’une des vingt-huit communes de la métropole de Bordeaux et appartient à son aire et à son unité urbaines. Forte de 22 200 habitants, elle s’inscrit dans le périmètre d’une agglomération bordelaise en constante progression, au centre de l’axe Arcachon-Bordeaux-Libourne, aire métropolitaine concentrant près de 1 250 000 habitants. Campée au pied d’une petite colline dominant la plaine alluviale, Cenon se divise en deux entités principales : Cenon-Bas (dans le prolongement du quartier de La Bastide, ce dernier rattaché à Bordeaux en 1865) et Cenon-Haut, sur la crête.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l’éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu’en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l’encadré ci-après.
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l’Énergie et du Climat complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bordeaux-Paulin », sur la commune de Bordeaux, mise en service en 1952 et qui se trouve à 4 km à vol d’oiseau[8][Note 4], où la température moyenne annuelle est de 14,3 °C et la hauteur de précipitations de 854,6 mm pour la période 1981-2010. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 9 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000, à 13,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 14,2 °C pour 1991-2020.
Cenon est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,. Elle appartient à l’unité urbaine de Bordeaux, une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes[17] et 986 879 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L’agglomération de Bordeaux est la sixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Bordeaux, dont elle est une commune du pôle principal. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20][21].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires artificialisés (86,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (80,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (78,5 %), forêts (9,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,8 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].
En gascon la ville se nomme Senon, prononcé [səˈnuŋ].
Une ancienne maison de retraite constituée de petits logements sans étage est occupée depuis 2019 par des familles originaires de plusieurs continents, avec le soutien de paroisses catholiques.
En octobre 2020 des démarches en vue de leur expulsion sont en cours, à la demande du propriétaire Logévie, un bailleur social,.
Logévie demande à ce que les autorités prévoient un relogement pour les nombreuses familles avec enfants qui sont sur la parcelles.
Un collectif regroupant de nombreuses associations a lancé une pétition. Le maire de Bordeaux estime qu’expulser les familles ne conduirait qu’à les amener à aller s’installer sur d’autres territoires dans la métropole.
La commune de Cenon appartient à l’arrondissement de Bordeaux. À la suite du découpage territorial de 2014 entré en vigueur à l’occasion des élections départementales de 2015, la commune demeure dans le canton de Cenon modifié dont elle était le chef-lieu et dont elle devient le bureau centralisateur,.
A partir des élections municipales de 1896, les socialistes entrent dans la municipalité de Cenon, ainsi qu’à Saint-Macaire et Bègles
En 1995, la fédération socialiste de la Gironde réussit le renouvellement du maire socialiste en fonction depuis 27 ans, René Bonnac (1921-2008) par le candidat socialiste, Alain David (1949-).
La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d’Agenda 21 en 2008.
Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué trois fleurs à la commune.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d’une enquête par sondage auprès d’un échantillon d’adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans,
En 2019, la commune comptait 25 496 habitants, en augmentation de 11,42 % par rapport à 2013 (Gironde : +7,85 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
La forte chute de population en 1866 résulte de l’annexion du quartier de la Bastide par la commune de Bordeaux en 1865.
Cette commune est caractérisée par l’arrivée de populations étrangères depuis une trentaine d’années.
La commune dispose de deux collèges, le collège Jean-Jaures, qui accueille les élèves de la cité Palmer, de la commune de Artigues-près-Bordeaux et du quartier Brossolette et le collège Jean-Zay qui accueille les élèves des quartiers de la saraillère,du bas et haut-cenon et du Loret.
Petite commune semi-rurale jusqu’au milieu du XX siècle, Cenon profite du dynamisme économique de la capitale aquitaine et du surplus de population qu’il génère pour se transformer et se doter de nouveaux équipements (écoles, lotissements, logements sociaux, médiathèque, salle de spectacles).
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 21 320 €, ce qui plaçait Cenon au 28 835 rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[43].
Le taux de chômage, en 2014, pour la commune s’élève à 21,8 %, un chiffre nettement supérieur à la moyenne nationale (10,4 %).
La principale église paroissiale de la ville est située non loin du parc du Cypressat. Placée sous le vocable de saint Romain de Blaye, sa construction débute au XII siècle : c’est alors une dépendance de l’abbaye de La Sauve-Majeure. Elle est remaniée à plusieurs reprises au cours des siècles, que ce soit à cause des dégâts infligés au sanctuaire par les hommes (guerres) ou par le temps. Elle prend son aspect actuel à partir de 1864, sous l’impulsion du cardinal Donnet, qui entend moderniser les églises de son diocèse[45]. L’église est alors presque entièrement reconstruite; on élève le clocher néo-gothique, assez trapu, coiffé d’une petite flèche en pierre de taille de l’Entre-deux-Mers et précédé d’un porche. Les travaux sont confiés à un architecte bien connu en Gironde : Gustave Alaux.
La disposition de l’église reste relativement simple : il s’agit d’une nef doublée de bas-côtés, cantonnée de contreforts, qui se prolonge par une abside hémicylindrique. L’intérieur, couvert d’amples croisées d’ogives (quadripartites dans la nef, sexpartites dans le chœur), conserve un décor peint du XIX siècle, un chemin de croix, œuvre du peintre et graveur Décaris, et un bénitier du XVIIe siècle. Une campagne de restauration financée en totalité par la ville (coût : 850 000 €), s’est étalée de 2002 à 2007. Elle a redonné à l’édifice sa blancheur originelle, la pierre ayant été longtemps rongée par les intempéries et la pollution. Le parvis de l’église, traité en terrasse panoramique, offre un point de vue remarquable sur Bordeaux.
Le château Palmer, du nom du général Charles Palmer, officier de l’armée britannique, date en grande partie du XVIII siècle. D’une grande sobriété, il arbore toutefois un vaste balcon-terrasse porté par une série de colonnes jumelées, offrant une vue sur le parc environnant[46]. Vaste espace vert de près de 25 hectares, le parc Palmer, aménagé sur une crête, offre une vue plongeante sur Bordeaux. Il se compose d’une succession de prairies, de massifs floraux et de bois où se mêlent notamment pins maritimes et parasols, palmiers, lauriers (essences méditerranéennes), tilleuls à grandes feuilles et chênes rouvres. Il abrite également plusieurs équipements sportifs, deux centres culturels (Le Rocher de Palmer et l’Office Culturel d’Animation de Cenon – OCAC – au Château Palmer), un théâtre de verdure, des aires de jeux pour les enfants et des tables de pique-nique[47].
L’ancienne chartreuse du Loret, du XVIII siècle, est un siècle plus tard une importante propriété viticole, la première de la commune en termes de production (82 tonneaux de vin rouge en 1874). Rachetée par la municipalité en 2004, elle est désormais un centre culturel où des artistes viennent exposer régulièrement. Le parc qui l’entoure est, avec le parc Palmer et le parc du Cypressat, un des poumons verts de la commune. S’étendant sur 14 hectares, il renferme quelques essences remarquables, comme des séquoias géants, des cèdres de l’Atlas et des ormes du Caucase[48].
Le parc du Cypressat est un des trois grands parcs de la ville de Cenon. Étagé à flanc de colline, à proximité du centre-ville, il couvre 17 hectares et renferme près de 1200 arbres répertoriés. Le cyprès, essence méditerranéenne, y tient une place d’honneur. Plusieurs belvédères, aménagés au gré de sentiers escarpés, offrent une vue panoramique sur Bordeaux. Le parc du Cypressat est un lieu vivant, véritable sanctuaire écologique pour de nombreuses espèces végétales et animales. On y trouve notamment des chevreuils, des blaireaux, ainsi qu’une grande variété d’oiseaux, ce qui lui a valu d’être classé comme « refuge LPO » par la Ligue pour la protection des oiseaux.
Relativement peu connu, cet espace aménagé à flanc de colline offre un point de vue remarquable sur une grande partie de l’agglomération bordelaise. De gauche à droite, on aperçoit ainsi les tours de Talence, la basilique Saint-Michel, l’hôpital Pellegrin, les clochers de la cathédrale Saint-André, les arbres et le sommet des colonnes rostrales de la place des Quinconces, les tours de la cité administrative, les pavillons du Bas-Cenon, les quais de Bordeaux, le pont Jacques-Chaban-Delmas, Cap Science et le port de Bordeaux.
La commune conserve plusieurs « châteaux » privés. Le nom de « château » désigne, en Bordelais, une exploitation viticole. Le château au Moine, construit en 1830 pour Claude Deschamps, s’inspire du classicisme. Le château de Serre, datant de 1804, est réquisitionné par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale, qui y installent le quartier-général de la défense anti-aérienne[50]. Le château d’Aurios, dit « château du Diable » entre les deux guerres, est une construction bourgeoise du milieu du XIX siècle, se composant d’un corps de logis cantonné de deux pavillons peu saillants[50]. Le château Lamothe ou domaine de La Garosse datant de 1715 dont une partie du terrain a été utilisée par l’usine de la Vieille Cure. Le château Guithon, datant de la même époque, abrite depuis 1914 l’hôtel de ville. L’ancien château Pichardy a été détruit en 1960, son fronton a été restauré : il est exposé en plein air près de la mairie.
La mosquée se situe sur le cours Victor Hugo, proche de la gare de Cenon et du tramway.
La commune, qui appartient à la première couronne périurbaine de Bordeaux, compte sur une forte proportion de parcs et d’espaces verts (20 % de son territoire) dont le plus célèbre est le parc Palmer, qui offre une vue panoramique sur Bordeaux.
« Roland (en 778) et son armée allant en Espagne, arrivèrent à la colline de Cenon, couverte à ce moment-là par l’antique forêt de cyprès. Au pied de la colline: les marais. Plus loin, le ruban d’argent de la Garonne barre la route. Saisi d’une inspiration divine, Roland sonna du cor. Au son de l’olifant, une biche blanche effrayée surgit de la forêt. Descendant la colline, elle traversa le marais et franchit la Garonne à un passage guéable qu’elle connaissait bien. Cette fuite éperdue ayant lieu sous les yeux de l’armée, Roland n’eut plus qu’à suivre la trace de la biche et, ses soldats derrière lui, franchit la Garonne. » . Cette légende est à rapprocher de celle attribuée à Clovis qui, alors qu’il poursuivait Alaric, ne sachant comment traverser la Vienne, se vit indiquer un gué par une biche, elle aussi descendue d’une forêt. Ce gué s’appelle encore Gué de la Biche.
La ville accueille chaque été, au mois de juillet, le Festival des Hauts de Garonne et le festival de salsa Festival Corazón latino en septembre.
Le CA Lormont Hauts de Garonne, autrefois appelé CA Lormont-Cenon Rive Droite, évolue en Fédérale 2 du Championnat de France de rugby.
Un complexe de tennis est en cours de construction.
La ville possède une gare (Gare de Cenon) située sur la ligne de Paris-Montparnasse à Bordeaux-Saint-Jean et desservie par les TER et la ligne A du tramway.
Le réseau Transports Bordeaux Métropole (TBM) dessert la commune à travers la ligne A du tramway de Bordeaux, qui dessert la gare de Cenon, mais aussi à travers les lignes de bus 10, 27, 28, 32, 40, 64 et 67, remplacées le week-end par le Flexo 68, et 80. En soirée, en plus de la ligne 10, la commune est desservie par les Flexos 51 et 52.
Les lignes 401 et 402 partent de la station de tram Stalingrad à destination de Sallebœuf, Branne, Camarsac et Saint-Quentin-de-Baron et traversent la commune.
Le , la communauté urbaine de Bordeaux a mis en service des voitures électriques en autopartage du groupe Bolloré. Le système porte sur une centaine de véhicules, 36 stations dans la ville de Bordeaux et une station dans les six communes voisines dont Cenon.