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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Chérac , est le même dans toute les villes Charente-Maritime , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Chérac est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).
Ses habitants sont appelés les Chéracais et les Chéracaises.
La commune de Chérac se situe dans le centre-est du département de la Charente-Maritime, en région Nouvelle-Aquitaine, dans l’ancienne province de Saintonge. Appartenant au Midi de la France — on parle plus précisément de « Midi atlantique », au cœur de l’arc atlantique, elle est partie intégrante du Grand Sud-Ouest français, et est parfois également incluse dans un Grand Ouest aux contours plus flous.
Elle est traversée par la N 141 Cognac-Saintes, route Centre-Europe Atlantique, et le bourg se trouve à 11 km de Cognac, 15 km de Pons et 18 km de Saintes.
La D 24 dite route basse de Saintes, qui lui est parallèle plus au sud et longe la Charente, se trouve dans la zone inondable du fleuve appelée localement prée. Cette partie de la vallée, où le fleuve déborde lors des crues hivernales et où la route basse est coupée, offre un spectacle saisissant lors de ces fréquentes inondations.
Trois départementales relient respectivement Saint-Sauvant à Cognac, Burie à Cognac et Dompierre-sur-Charente à Saint-Bris-des-Bois ce qui forme un réseau de voies sur la commune.
Chérac est une des étapes d’un sentier de grande randonnée balisé, le GR 360.
Chez Landart, Le Treuil, les Justices, Montlambert, le Grand Maine Garnier, la Garellerie, le Pérou, Mongaugé, Le Boulas, Chez Gatineau, la Brunette, chez Taillasson.
Limitée au sud par la Charente, Chérac l’est au nord par la via Agrippa ou chemin des Romains. Celui-ci est en partie conservé et en partie recouvert par un chemin rural.
Salignac, Brives, Montils et Rouffiac sont situées au sud, sur la rive gauche de la Charente de l’autre côté du fleuve. Dompierre et Saint-Sauvant sont situés à l’ouest. Au nord, Saint-Césaire et Saint-Sulpice-de-Cognac sont séparés de Chérac par la ligne droite du chemin des Romains, puis Louzac-Saint-André par le Ri-Bellot, un affluent de l’Antenne. Louzac-Saint-André et Saint-Laurent-de-Cognac forment à l’est la limite entre les départements de Charente et Charente-Maritime.
Chérac est située sur un plateau de calcaire fin qui date du Tithonien (anciennement nommé étage Portlandien). Elle est dans le bassin versant du fleuve Charente, sur sa rive droite qui descend en pente douce du nord-ouest vers le sud-est.
Chérac est située en bordure de la Charente, sur sa rive droite.
La partie sud, entre la Charente et la N 141 est en grande partie une vallée inondable.
La commune est très boisée, avec 712 ha de bois répartis en plusieurs massifs au nord de la N 141.
Chérac est situé en Borderies, cru classé du vignoble d’appellation Cognac et les vignes se répartissent sur les coteaux calcaires.
Chérac est une commune rurale,. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee[4][5].
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6][7].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (73,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (46 %), forêts (25,2 %), terres arables (14,1 %), zones agricoles hétérogènes (13,2 %), zones urbanisées (1,1 %), prairies (0,4 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].
Le toponyme a pour origine le nom de Carrius, propriétaire gallo-romain, auquel a été apposé le suffixe -acum.
Toutes les rives de la Charente et de ses affluents sur cette zone sont considérées comme des habitats des Néandertaliens. Saint-Césaire, où a été retrouvée le fossile surnommé « Pierrette », est tout proche.
Une station néolithique au lieu-dit Chez Landart a livré des lames, des grattoirs et des flèches.
Le toponyme de la rue du Port et du lieu-dit le Magasin, pourrait correspondre à un port gabarier comme il en a existé le long du fleuve Charente en Gaule, bien avant la présence romaine, et jusqu’au XIX siècle.
Au-dessus de Chez Landart, une butte ou motte pourrait être l’emplacement d’un castrum construit en 1024 sous Guillaume Taillefert Comte d’Angoulême, la forteresse de Franchebourg.
C’est dans la commune de Chérac que le premier cas avéré de vigne phylloxérée a été identifié en 1872, ainsi qu’aux portes de Cognac, dans l’ancienne commune de Crouin. Trois ans plus tard, la vigne de la Saintonge était entièrement ravagée par le phylloxéra.
Chérac est une commune créée en 1793, dans le canton de Dompierre, le district de Saintes et le département de la Charente-Inférieure. En 1801 Chérac passe dans le canton de Burie et reste dans l’arrondissement de Saintes et en 1941 la Charente-Inférieure devient la Charente-Maritime.
À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.
Jusqu’à la fin de l’année 2012, la commune de Chérac faisait partie de la Communauté de communes Vignobles et Vals boisés du Pays Buriaud qui comprenait dix communes ; cette dernière a fusionné avec la Communauté d’agglomération de Saintes le 1 janvier 2013[11].
Depuis janvier 2013, Chérac fait donc partie de la Communauté d’agglomération de Saintes dont le siège administratif est situé à Saintes.
La fiscalité est d’un taux de 7,44 % pour la taxe d’habitation, 13,62 % sur le foncier bâti, 34,96 % sur le non bâti et 14,52 % de taxe professionnelle, et comme la communauté de communes prélève sur l’ensemble des quatre taxes, respectivement 1,67 %, 3,25 %, 8,06 % et 3,07 % cela donne au total et avant que s’y ajoutent le département et la région, 9,11 % pour la taxe d’habitation, 16,87 % sur le foncier bâti, 43,04 % sur le non bâti et 17,59 % de taxe professionnelle (chiffres 2007).
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[13].
En 2019, la commune comptait 1 118 habitants, en augmentation de 1,64 % par rapport à 2013 (Charente-Maritime : +2,83 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
En 2018, le taux de personnes d’un âge inférieur à 30 ans s’élève à 29,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (29 %). À l’inverse, le taux de personnes d’âge supérieur à 60 ans est de 29,8 % la même année, alors qu’il est de 34,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 538 hommes pour 575 femmes, soit un taux de 51,66 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (52,15 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s’établissent comme suit.
La viticulture demeure encore un secteur majeur de l’économie de la commune. Ses vignes ont le privilège d’être classées en terroir des Borderies dans la zone d’appellation d’origine contrôlée du cognac. De nombreux producteurs pratiquent la vente au détail du cognac, pineau et vin de pays charentais, et même la liqueur de cassis. À leurs côtés, trois distilleries d’eaux-de-vie sont encore en activité dont une emploie plus d’une trentaine de personnes. Un courtier en vins et un transporteur complètent cette économie viticole encore très active.
Divers commerces de proximité ou de première nécessité sont présents dans le bourg de Chérac où se trouvent notamment une boulangerie, une boucherie, un snack-bar-épicerie, un buraliste en tabac ainsi que quelques services (office notarial, pharmacie, salon de coiffure, garages, installateur d’antennes TV, ébénisterie…) qui complètent le secteur tertiaire.
Commune résidentielle située dans l’aire urbaine de Cognac, Chérac accueille également des entreprises du bâtiment (maçonneries, plâtrier-carreleur, plomberie-chauffagiste, peintre, plaquiste, etc.).
Le touriste trouve des chambres d’hôtes dans cinq lieux.
École primaire située place de la Mairie.
Il y a une pharmacie et une maison de retraite privée.
L’hôpital est à Saintes.
Messes à 9 h 30 les 2 et 4e dimanches du mois.
L’église Saint-Gervais et Saint-Protais de la fin du XII siècle à nef unique de trois travées avec un transept dont les deux bras ont comporté une absidiole mais dont il ne reste que celle du bras nord. Elle possède deux chapelles latérales, une chapelle de la Vierge et une chapelle Saint-Joseph sous le clocher. Le portail roman est abrité par un auvant ou ballet.
La mairie, construite en 1905, a été rénovée en 1991.
Le logis du Chay a contenu une importante cheminée en pierre richement sculptée dont le médaillon central représentait une marquise Ferrary du Chay; vers 1910-1912 elle fut “cédée à l’antiquaire Grenon lors d’une vente de succession et transportée au musée de Liège” (lettre du maire de Chérac du 4/06/1994 – arch.pers.). Cette cheminée est identique à celle, également “sculptée en calcaire du troisième quart du XVII siècle d’après un dessin de Jean Lepautre” du Metropolitan Museum à New-York, qui fut offerte à ce musée par la Hearst Foundation en 1956 et mise en réserve à cette époque; vers 1987 elle fut “découverte” sur une photographie ancienne par le décorateur Henri Samuel (1904-1996), qui la fit placer dans sa period room dite “Chambre d’apparat Louis -XIV” (galeries Wrighstman).
Le château de Dion.
Le moulin à vent de Chez Landart dit moulin du père Nattier, restauré, porte d’inscrit la date de 1792.
La Maison de la Gaieté, ancien cabaret aux façades décorées d’un million de fragments de vaisselle par ses propriétaires, Ismaël et Guy Villéger, entre 1937 et 1952, est un exemple d’art populaire ou “art naif” qui faillit être démoli et reste en péril .
Le GR 4 qui va de Royan à Grasse et le circuit de randonnée permettent de découvrir la campagne et les bois.
La berge de la Charente et sa vallée font partie de deux zones Natura 2000, la Moyenne vallée de la Charente et Seugne et Coran l’une pour 46 espèces d’oiseaux, canards chipeau, colvert, pillet, souchet (Anas strepera, Anas platyrhynchos, Anas acuta, Anas clypeata) des limicoles, bécassines des marais (Gallinago gallinago (, Chevalier guignette (Actitis hypoleucos) et autres.
L’autre zone Natura 2000 est pour des mammifères, la loutre (Lutra lutra), le vison d’Europe (Mustela lutreola)et de nombreuses chauves-souris (grand murin (Myotis myotis), grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersi), petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et vespertilion à oreilles échancrées (Myotis emarginatus) mais aussi les poissons, alose feinte (Alosa fallax), grande alose (Alosa alosa), lamproie de Planer (Lampetra planeri), lamproie de rivière (Lampetra fluviatilis), lamproie marine (Petromyzon marinus) et saumon atlantique (Salmo salar), ainsi que la cistude d’Europe (Emys orbicularis) et de nombreux invertébrés.