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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Ferrière-Larçon , est le même dans toute les villes Indre-et-Loire , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Ferrière-Larçon est une commune française du département d’Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.
Le réseau hydrographique communal, d’une longueur totale de 26,48 km, comprend un cours d’eau notable, le Brignon (3,666 km), et divers petits cours d’eau pour certains temporaires,.
Le Brignon, d’une longueur totale de 26,3 km, prend sa source à 127 mètres d’altitude sur le territoire de la commune de Saint-Flovier et se jette dans la Claise à Abilly, après avoir traversé 7 communes. Sur le plan piscicole, le Brignon est classé en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[4].
Ferrière-Larçon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,. La commune est en outre hors attraction des villes[8][9].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (87,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,3 %), prairies (11,1 %), forêts (11 %), zones urbanisées (1,4 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[11].
Le territoire de la commune de Ferrière-Larçon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Un site publié par le BRGM permet d’évaluer simplement et rapidement les risques d’un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].
Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Paulmy, est classée au niveau de risque 2, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal).
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d’engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 96,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 226 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 223 sont en en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l’exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM,.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993, 2003, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999.
Ferrière-Larçon, au XIVe siècle, est un fief des Savary de Montbazon, de même que Villandry/Co(u)lombiers, Le Brandon, Savonnières, Montsoreau : par exemple Barthélemy II, † vers 1362/1364, père de Barthélemy III et de Renaud de Montbazon (~1325-~1383). Ce dernier agrandit joliment son domaine en obtenant Marnes et Moncontour, et en épousant Jeanne/Aléonor de Craon (ca. 1330-ca. 1385), héritière de Ste-Maure, Pressigny/Précigny, Nouâtre, peut-être Ferrières, Châteauneuf, Jarnac : leur fille Jeanne de Montbazon épouse son cousin GuillaumeII de Craon (vers 1345-1410), vicomte de Châteaudun, sire de Marcillac et de Verneuil-sur-Indre.
Désormais, les seigneurs de Ferrière-Larçon sont les mêmes que ceux de Précigny: les Chabot de La Grève (issus de Guillaume II de Craon et Jeanne de Montbazon) ; puis, par acquisition : les Beauvau, les Prie de Buzançais et Montpoupon, les Savoie-Tende-Villars-les-Dombes et les Gonzague-Nevers, les Brûlart de Sillery, les Bertrand, les Masson de Maison-Rouge, enfin les Gilbert de Voisins. Le dernier baron du Grand-Pressigny, sire de Ferrière-Larçon et de Neuilly-le-Noble, Pierre-Paul III Alexandre Gilbert de Voisins, aussi marquis d’Orgeval et seigneur ou baron de Voisins-le-Bretonneux, Villennes-sur-Seine, Médan, St-Étienne et St-Priest-en-Jarez, I baron du Forez, est saisi à la Révolution et meurt guillotiné le 15 novembre 1793.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[19].
En 2019, la commune comptait 238 habitants, en diminution de 8,11 % par rapport à 2013 (Indre-et-Loire : +1,64 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d’un âge inférieur à 30 ans s’élève à 20,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (34,9 %). À l’inverse, le taux de personnes d’âge supérieur à 60 ans est de 45,1 % la même année, alors qu’il est de 27,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 124 hommes pour 120 femmes, soit un taux de 50,82 % d’hommes, largement supérieur au taux départemental (48,09 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s’établissent comme suit.