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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Fridefont , est le même dans toute les villes Cantal , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Fridefont est une commune française, située dans le département du Cantal en région Auvergne-Rhône-Alpes.
La commune est située dans le Sud-Est du département Cantal. Elle est limitrophe de la Lozère.
Elle est située dans le Massif central en Aubrac.
Elle est bordée au nord par la Truyère (lacs de barrage de Sarrans et de Lanau) et à l’est par son affluent, le Bès.
Fridefont est une commune rurale,. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee[3][4].
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Saint-Flour, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 36 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 1][I 2].
La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac du Barrage de Grandval, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d’inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[6][7].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des forêts et milieux semi-naturels (54,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (57,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,2 %), zones agricoles hétérogènes (19,9 %), eaux continentales (16,5 %), prairies (8,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,5 %)[8].
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 86, alors qu’il était de 79 en 2013 et de 82 en 2008.
Parmi ces logements, 54,2 % étaient des résidences principales, 42,5 % des résidences secondaires et 3,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,3 % d’entre eux des maisons individuelles et pour 3,7 % des appartements.
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Fridefont en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (42,5 %) supérieure à celle du département (20,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d’occupation de ces logements, 86,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (86,3 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière.
Elle est parfois orthographiée Fridefond sur certaines cartes topographiques au 1:50 000 de l’IGN.
Le mot Fridefont veut dire en langue occitane “source froide” (Freda font). À associer à la ville proche de Chaudes-Aigues (Chaudas Aigas), qui signifie “eaux chaudes”.
À sa création, la commune s’appelle Sarrus. En 1831, elle absorbe l’ancienne commune de Magnac. En 1839, elle absorbe, conjointement avec Faverolles, l’ancienne commune de Mallet[9]. En 1909, elle prend son nom actuel. Les paroisses catholiques ont connu un mouvement parallèle[10].
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[13].
En 2019, la commune comptait 92 habitants, en diminution de 10,68 % par rapport à 2013 (Cantal : −1,59 %, France hors Mayotte : +2,17 %).