Faites votre demande de carte grise en ligne et recevez là directement chez vous en faisant confiance à un professionnel agréé par le ministère de l’Intérieur N°33958
Suite à l’acquisition d’un véhicule d’occasion
Vous avez où vous allez déménager
Votre carte grise a été volée ou perdue
Suite à un divorce, mariage, ou un décès.
Vous avez cédé votre véhicule
Vous venez d’acheter un véhicule neuf
Suite à l’acquisition d’un véhicule d’occasion
Vous avez où vous allez déménager
Votre carte grise a été volée ou perdue
Suite à un divorce, mariage, ou un décès.
Vous avez vendu votre véhicule
Vous venez d’acheter un véhicule neuf
Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Izaut-de-l’Hôtel , est le même dans toute les villes Haute-Garonne , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Izaut-de-l’Hôtel est une commune française située dans le sud-ouest du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l’Ariège.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Job et par divers autres petits cours d’eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « chaînons calcaires du Piémont Commingeois ») et sept zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique.
Izaut-de-l’Hôtel est une commune rurale qui compte 295 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 931 habitants en 1836. Elle fait partie de l’aire d’attraction de Saint-Gaudens. Ses habitants sont appelés les Izautois ou Izautoises.
La commune d’Izaut-de-l’Hôtel se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Elle se situe à 86 km à vol d’oiseau de Toulouse, préfecture du département, à 10 km de Saint-Gaudens[2], sous-préfecture, et à 28 km de Bagnères-de-Luchon, bureau centralisateur du canton de Bagnères-de-Luchon dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d’Aspet.
Les communes les plus proches sont[4] : Arbon (1,9 km), Cabanac-Cazaux (2,2 km), Encausse-les-Thermes (3,7 km), Cazaunous (3,8 km), Aspet (3,8 km), Payssous (3,9 km), Soueich (4,0 km), Juzet-d’Izaut (4,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Izaut-de-l’Hôtel fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l’Ariège.
Izaut-de-l’Hôtel est limitrophe de huit autres communes.
La superficie de la commune est de 968 hectares ; son altitude varie de 397 à 800 mètres.
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne. Elle est drainée par le Job, le ruisseau de Bayech, le ruisseau de la Maure et par deux petits cours d’eau, constituant un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[9][Carte 1].
Le Job, d’une longueur totale de 18,4 km, prend sa source dans la commune de Boutx et s’écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Ger à Lespiteau, après avoir traversé 10 communes.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l’éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu’en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l’encadré ci-après.
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l’Énergie et du Climat complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Labarthe-Rivière », sur la commune de Labarthe-Rivière, mise en service en 1975 et qui se trouve à 10 km à vol d’oiseau[17][Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 745,9 mm pour la période 1981-2010. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le département de l’Ariège, mise en service en 1949 et à 30 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000, à 12,3 °C pour 1981-2010[21], puis à 12,7 °C pour 1991-2020.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « chaînons calcaires du Piémont Commingeois »[24], d’une superficie de 6 198 ha, sont un site vallonné forestier et bocager du piémont pyrénéen.
L’inventaire des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1 sont recensées sur la commune[26] :
et deux ZNIEFF de type 2, :
Izaut-de-l’Hôtel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Saint-Gaudens, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3][I 4].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des forêts et milieux semi-naturels (60,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,7 %), prairies (26,6 %), zones agricoles hétérogènes (10,1 %), zones urbanisées (2,6 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 2].
Accès avec la ligne régulière de transport interurbain du réseau Arc-en-ciel (anciennement SEMVAT) ou en gare de Saint-Gaudens sur la ligne Toulouse – Bayonne.
L’origine du mot Izaut de l’Hôtel demeure depuis fort longtemps l’un des sujets les plus controversés. Les quelques excellents ouvrages d’érudition qui ont abordé le problème, essentiellement dans les années trente, exposent des théories qui font encore référence, même si l’on doit en éluder certaines conclusions trop hâtives ou trop intéressées, comme l’origine très peu probable d’Isis, reine mythique et une déesse funéraire de l’Égypte antique.
L’attestation écrite d’Isaut la plus ancienne figure dans une copie (établie en 1566 par les agents du Royaume de France) de la charte de coutume du village datée de 1250. Il y est fait mention « d’Isault ». Cette charte fut rédigée en occitan.
Du pays d’Ysaltès ou d’Isault, qui englobait dès le Moyen Âge toute la vallée du Cagire, il ne reste de nos jours comme traces remarquables, que les toponymes d’Izaut de l’Hôtel et de Juzet d’Izaut (Le nom de Juzet signifie étymologiquement d’après l’ancien occitan, “jus” ou “juseto” (situé) en bas), villages mitoyens et appartenant à une même vallée[40].
Entre 1250 et 1562, on ne trouve plus que des documents écrits en latin essentiellement au quatorzième siècle et appartenant au clergé, où il est question de « l’Archiprêtré d’Ysaltès » et de « la Châtellenie de Isaltesio ».
Ainsi, R. Lizop attribue l’origine du mot « Izaut » à la fossilisation d’une ancienne expression latine « in saltu ». Quelques sites archéologiques datant du second siècle après Jésus Christ affleurent encore autour de l’actuel village et témoignent ainsi d’une ancienne occupation. L’expression « in saltu », qui signifierait « le pays compris dans le saltus », c’est-à-dire dans le domaine impérial appartenant à une cité, s’opposerait au territoire situé dans la cité « in civitate ». Il faut ajouter que le Saltus, aurait évolué plus tardivement en « pays de Sault » ou « Ysaltès » (nombreuses occurrences relevées par Charles Higounet) et désignerait étymologiquement un pâturage boisé en montagne8, ce qui semble bien correspondre à la topographie de la région.
Quant à l’expression « de l’Hôtel », elle demeure encore à ce jour sibylline et les conclusions des ouvrages d’érudition précités sont assez imprécises. On a pu trouver l’expression « de l’Hôtel » sous la forme « de l’Autel ». Cette forme écrite est d’ailleurs attestée par les documents de la Mairie précités, entre 1655 et 1723.
Au moment des guerres de religion, est mentionné un Louis de La Mothe, qui se dit seigneur d’Izaut. Avec Géraud d’Encausse, seigneur de Save, il lève une troupe de 300 hommes pour voler au secours de Toulouse, assiégée par les Huguenots. Au XVI siècle, on connaît aussi un Ogier de La Mothe. Selon la tradition, ils auraient possédé une vaste demeure au milieu du village actuel, encore aujourd’hui habitée.
Chronologie :
Le nombre d’habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l’élection de 2014 est de onze,.
Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cagire-Garonne-Salat et du canton de Bagnères-de-Luchon (avant le redécoupage départemental de 2014, Izaut-de-l’Hôtel faisait partie de l’ex-canton d’Aspet).
Avant le , elle faisait partie de la communauté de communes des Trois Vallées et du SIVOM de la région de Salies-du-Salat.
Izaut-de-l’Hôtel fait partie de l’académie de Toulouse.
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 133 ménages fiscaux, regroupant 289 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 540 €[I 5] (23 140 € dans le département).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s’élève à 165 personnes, parmi lesquelles on compte 74,4 % d’actifs (65 % ayant un emploi et 9,4 % de chômeurs) et 25,6 % d’inactifs,. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu’il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l’aire d’attraction de Saint-Gaudens, du fait qu’au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle,. Elle compte 23 emplois en 2018, contre 34 en 2013 et 31 en 2008. Le nombre d’actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 108, soit un indicateur de concentration d’emploi de 21,1 % et un taux d’activité parmi les 15 ans ou plus de 47,8 %[I 11].
Sur ces 108 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 20 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants. Pour se rendre au travail, 90,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1 % les transports en commun, 3,8 % s’y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,8 % n’ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
23 établissements sont implantés à Izaut-de-l’Hôtel au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d’activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14][I 14]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l’hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu’il représente 30,4 % du nombre total d’établissements de la commune (7 sur les 23 entreprises implantées à Izaut-de-l’Hôtel), contre 25,9 % au niveau départemental.
La commune est dans les « Pyrénées centrales », une petite région agricole occupant le sud du département de la Haute-Garonne, massif montagneux où s’étagent les vallées profondes, la forêt et les zones intermédiaires, les estives. En 2020, l’orientation technico-économique de l’agriculture[Note 15] sur la commune est l’élevage bovin, orientation mixte lait et viande.
Le nombre d’exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 28 lors du recensement agricole de 1988 à 16 en 2000 puis à 13 en 2010[58] et enfin à 12 en 2020, soit une baisse de 57 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l’échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[59][Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 551 ha en 1988 à 481 ha en 2020. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 20 à 40 ha[58].
Le site Natura 2000 Chaînons calcaires du Piémont Commingeois est classé en zone spéciale de conservation depuis 2007, avec une superficie de 6 198 hectares il s’étend sur une partie de la commune de Izaut-de-l’Hôtel