Passer votre commande de carte grise en ligne et recevez là directement chez vous en faisant confiance à un professionnel agréé par le ministère de l’Intérieur N°33958
Suite à l’acquisition d’un véhicule d’occasion
Vous avez où vous allez déménager
Votre carte grise a été volée ou perdue
Suite à un divorce, mariage, ou un décès.
Vous avez vendu votre véhicule
Vous venez d’acheter un véhicule neuf
Suite à l’acquisition d’un véhicule d’occasion
Vous avez où vous allez déménager
Votre carte grise a été volée ou perdue
Suite à un divorce, mariage, ou un décès.
Vous avez vendu votre véhicule
Vous venez d’acheter un véhicule neuf
Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Juilles , est le même dans toute les villes Gers , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Juilles (Julhas en gascon) est une commune française située dans le sud-est du département du Gers, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Gimoès, un petit territoire autour de Gimont, traversé en son milieu par la Gimone.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Gimone et par divers autres petits cours d’eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique.
Juilles est une commune rurale qui compte 219 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 911 habitants en 1846. Elle fait partie de l’aire d’attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Juillois ou Juilloises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : la grange cistercienne de La Grange, inscrite en 2015.
Juilles est une commune de Gascogne située sur les coteaux de la Gimone, à 5 km au sud-ouest de Gimont.
Juilles se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible).
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne. Elle est drainée par la Gimone, le ruisseau de Francillon, le ruisseau de Juilles, le ruisseau de Luquet, le ruisseau d’en Hauade, le ruisseau du bois bédat et le ruisseau du Trouillé, qui constituent un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[4][Carte 1].
La Gimone, d’une longueur totale de 135,7 km, prend sa source dans la commune de Saint-Loup-en-Comminges et s’écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Castelferrus, après avoir traversé 54 communes.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l’éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu’en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l’encadré ci-après.
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l’Énergie et du Climat complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ste-Anne », sur la commune de Sainte-Anne, mise en service en 1995 et qui se trouve à 19 km à vol d’oiseau[12][Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 653,6 mm pour la période 1981-2010. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d’Auch, mise en service en 1985 et à 20 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010 à 13,5 °C pour 1991-2020[16].
L’inventaire des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1 sont recensées sur la commune[17] :
et une ZNIEFF de type 2, : le « cours de la Gimone et de la Marcaoue » (3 085 ha), couvrant 60 communes dont cinq dans la Haute-Garonne, 37 dans le Gers, une dans les Hautes-Pyrénées et 17 dans le Tarn-et-Garonne[21].
Juilles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2][I 3].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89,1 %), zones agricoles hétérogènes (10,9 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 2].
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 87 ménages fiscaux, regroupant 225 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 24 260 €[I 4] (20 820 € dans le département).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s’élève à 140 personnes, parmi lesquelles on compte 78,2 % d’actifs (71,1 % ayant un emploi et 7 % de chômeurs) et 21,8 % d’inactifs,. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l’aire d’attraction de Toulouse, du fait qu’au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle,. Elle compte 33 emplois en 2018, contre 26 en 2013 et 22 en 2008. Le nombre d’actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 102, soit un indicateur de concentration d’emploi de 32,2 % et un taux d’activité parmi les 15 ans ou plus de 60,1 %[I 10].
Sur ces 102 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 21 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants. Pour se rendre au travail, 91,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,9 % les transports en commun, 2,9 % s’y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,9 % n’ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
14 établissements sont implantés à Juilles au [I 13]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu’il représente 21,4 % du nombre total d’établissements de la commune (3 sur les 14 entreprises implantées à Juilles), contre 14,6 % au niveau départemental.
La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant l’est du département du Gers. En 2020, l’orientation technico-économique de l’agriculture[Note 12] sur la commune est la culture de céréales et/ou d’oléoprotéagineuses.
Le nombre d’exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 27 lors du recensement agricole de 1988 à 21 en 2000 puis à 19 en 2010[33] et enfin à 14 en 2020, soit une baisse de 48 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l’échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[34][Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 177 ha en 1988 à 1 229 ha en 2020. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 44 à 88 ha[33].