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A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Juzet-d’Izaut , est le même dans toute les villes Haute-Garonne , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Juzet-d’Izaut est une commune française située dans le sud-ouest du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l’Ariège.
Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Job, le ruisseau de Moncaup et par divers autres petits cours d’eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « zones rupestres xérothermiques du bassin de Marignac, Saint-Béat, pic du Gar, montagne de Rié » et les « chaînons calcaires du Piémont Commingeois ») et quatre zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique.
Juzet-d’Izaut est une commune rurale qui compte 188 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 959 habitants en 1846. Elle fait partie de l’aire d’attraction de Saint-Gaudens. Ses habitants sont appelés les Juzetois ou Juzetoises.
La commune de Juzet-d’Izaut se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Elle se situe à 89 km à vol d’oiseau de Toulouse, préfecture du département, à 15 km de Saint-Gaudens[2], sous-préfecture, et à 25 km de Bagnères-de-Luchon, bureau centralisateur du canton de Bagnères-de-Luchon dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d’Aspet.
Les communes les plus proches sont[4] : Cazaunous (2,3 km), Sengouagnet (2,6 km), Arbon (2,8 km), Arguenos (3,0 km), Razecueillé (3,3 km), Milhas (4,1 km), Moncaup (4,3 km), Izaut-de-l’Hôtel (4,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Juzet-d’Izaut fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l’Ariège.
Juzet-d’Izaut est limitrophe de cinq autres communes.
La superficie de la commune est de 1 574 hectares ; son altitude varie de 466 à 1 908 mètres.
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne. Elle est drainée par le Job, le ruisseau de Moncaup, le Rieu Caup, le ruisseau d’Arbon et par divers petits cours d’eau, constituant un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[9][Carte 1].
Le Job, d’une longueur totale de 18,4 km, prend sa source dans la commune de Boutx et s’écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Ger à Lespiteau, après avoir traversé 10 communes.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l’altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l’encadré ci-après.
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l’Énergie et du Climat complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Labarthe-Rivière », sur la commune de Labarthe-Rivière, mise en service en 1975 et qui se trouve à 13 km à vol d’oiseau[17][Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 745,9 mm pour la période 1981-2010. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le département de l’Ariège, mise en service en 1949 et à 30 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000, à 12,3 °C pour 1981-2010[21], puis à 12,7 °C pour 1991-2020.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[24] :
L’inventaire des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1 sont recensées sur la commune[27] :
et une ZNIEFF de type 2, : l’« ensemble du massif de Gar-Cagire et bassin de Juzet-d’Izaut » (9 679 ha), couvrant 18 communes du département[31].
Juzet-d’Izaut est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Saint-Gaudens, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3][I 4].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des forêts et milieux semi-naturels (80,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (77,1 %), prairies (8,7 %), zones agricoles hétérogènes (8,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,9 %), zones urbanisées (2,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,6 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 2].
Accès avec l’ancienne Route nationale 618 et ligne régulière de transport interurbain du réseau Arc-en-ciel (anciennement SEMVAT).
Le village porte aujourd’hui le nom de Juzet d’Izaut, Izaut étant un village voisin. Jusqu’à la Révolution, on parlait simplement de Juzet. La situation de Juzet au cours du Moyen Âge est extrêmement complexe. La communauté formait, avec Moncaup, Arguenos et Cazaunous le Pays de Thou, inclus dans la châtellenie des Frontignes (comté de Comminges). Mais un texte de 1335 indique que Raymond-Athon d’Aspet est co-seigneur de Juzet. En 1543, Juzet est citée dans les localités de la baronnie d’Aspet et en 1553, la baronne d’Aspet, Claude de Foix, fait prêter serment aux consuls de Juzet. Au XVI siècle apparaît une famille de Bilhères, qui réside au château de la Moulette (dont il ne reste plus rien aujourd’hui). Jacques de Bilhères confirme en 1540 les privilèges du consulat. En 1570, la seigneurie de Juzet passe, par mariage, aux d’Ustou. En 1666, la dame de la Molette, Marguerite d’Ustou, cède ses biens aux jésuites qui dirigent le séminaire de Saint-Gaudens, à charge pour eux d’évangéliser la vallée. Ils resteront à la Moulette jusqu’à la Révolution[35].
Le nombre d’habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l’élection de 2014 est de onze,.
Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cagire-Garonne-Salat et du canton de Bagnères-de-Luchon (avant le redécoupage départemental de 2014, Juzet-d’Izaut faisait partie de l’ex-canton d’Aspet) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes des Trois Vallées. La commune est également membre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac.
Depuis 1951, l’entreprise familiale de la Charcuterie du Cagire, employant 26 personnes, est connue régionalement poir la qualité de ses produits.
Restaurant L’auberge du Cagire.
Juzet-d’Izaut fait partie de l’académie de Toulouse.
Le site Natura 2000 Chaînons calcaires du Piémont Commingeois est classé en zone spéciale de conservation depuis 2007 ; avec une superficie de 6 198 hectares, il s’étend sur une partie de la commune de Juzet-d’Izaut.
La zone Natura 2000 des Zones rupestres xérothermiques du bassin de Marignac, Saint-Béat, pic du Gar, montagne de Rié est classée en zone spéciale de conservation (en référence à la Directive Habitats) depuis 2007 ; avec une superficie de 7 680 hectares, elle s’étend sur une partie de la commune de Juzet-d’Izaut.
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 84 ménages fiscaux, regroupant 166 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 480 €[I 5] (23 140 € dans le département).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s’élève à 110 personnes, parmi lesquelles on compte 70,3 % d’actifs (61,3 % ayant un emploi et 9 % de chômeurs) et 29,7 % d’inactifs,. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l’aire d’attraction de Saint-Gaudens, du fait qu’au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle,. Elle compte 50 emplois en 2018, contre 46 en 2013 et 40 en 2008. Le nombre d’actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 71, soit un indicateur de concentration d’emploi de 70,4 % et un taux d’activité parmi les 15 ans ou plus de 48,2 %[I 11].
Sur ces 71 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 18 travaillent dans la commune, soit 25 % des habitants. Pour se rendre au travail, 80,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,2 % les transports en commun, 2,8 % s’y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 12,7 % n’ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
15 établissements sont implantés à Juzet-d’Izaut au [I 14]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l’hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu’il représente 26,7 % du nombre total d’établissements de la commune (4 sur les 15 entreprises implantées à Juzet-d’Izaut), contre 25,9 % au niveau départemental.
La commune est dans les « Pyrénées centrales », une petite région agricole occupant le sud du département de la Haute-Garonne, massif montagneux où s’étagent les vallées profondes, la forêt et les zones intermédiaires, les estives. En 2020, l’orientation technico-économique de l’agriculture[Note 15] sur la commune est l’élevage de bovins, pour la viande. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 16] (13 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 183 ha,,.