Faites votre demande de carte grise en ligne et recevez là directement chez vous en faisant confiance à un professionnel agréé par le ministère de l’Intérieur N°33958
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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Lablachère , est le même dans toute les villes Ardèche , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Lablachère est une commune française, située dans le département de l’Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Ses habitants sont appelés les Lablachérois ou Blachérois.
En 1801 la commune de La Blachère devient Lablachère. Ce nom vient de Blache qui signifie en occitan chêne blanc. Autrefois, Lablachère était en effet entouré de forêts. Le nom de Lablachère est celui de la commune comprise dans sa totalité car aucun des nombreux hameaux (236 lieux-dits cadastrés habités et non habités) qui la composent ne le porte. Situé à un carrefour de routes, presque au milieu du territoire communal, le village-chef-lieu s’appelle La Jaujon, au pied d’un petit mamelon sur lequel se trouvent l’église, le presbytère et le cimetière dominant de tous côtés le beau panorama des environs.
Située à 2,5 kilomètres à l’ouest de Joyeuse et à 11 kilomètres au nord-est des Vans, Lablachère fait partie du canton des Vans. La commune est arrosée par l’Alune.
De la place du bourg (La Jaujon) partent quatre grandes routes :
Le climat de la région est de type supra méditerranéen avec des été chauds et un mois sec, des automnes pluvieux surtout en octobre, des hivers doux et des printemps agréables avec parfois des mois d’avril pluvieux.
Lablachère est une commune rurale,. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee[3][4]. Elle appartient à l’unité urbaine d’Aubenas, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes et 41 440 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6][7]. La commune est en outre hors attraction des villes,.
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des forêts et milieux semi-naturels (62,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (33 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (29,6 %), zones agricoles hétérogènes (17,8 %), zones urbanisées (13,9 %), cultures permanentes (5,3 %), prairies (0,5 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[11].
Les seigneurs de Lablachère furent de toute antiquité les mêmes que ceux de Joyeuse, les Bermond, les Châteauneuf-Randon et les Joyeuse.
Parmi les familles nobles de la paroisse, la plus ancienne est celle de la Saulmée (de Salmesia) et ensuite La Saumès. Elle avait sa résidence au château de ce nom, tout près du hameau de La Jaujon, chef-lieu de la paroisse. Il est certain que le château actuel n’est pas le même que le primitif. C’est une grande maison rectangulaire avec toit à quatre pentes, deux étages, très grandes fenêtres à croisillons, belle maçonnerie en pierres de taille, cour, chapelle et jardin.
Le , Catherine Chabassut de la ville de Joyeuse, veuve de Guillaume Fabri, remariée à noble Pons de la Saulmée, fit donation de tous ses biens à son proche parent noble Pons de Malet. Le , au château de Joyeuse, Noble Pierre de Malet, coseigneur de Vernon, rend hommage à Louis, baron de Joyeuse, en présence de noble Durand de la Saulmée.
Il est probable qu’il ne laissa pas de postérité car son héritage et celui de son père passèrent à noble Reymond Ferrand d’après le testament de ce dernier du , reçu Guillaume de Bona, archiprêtre de Sampzon, prieur de Sablières et notaire. Il veut qu’on accomplisse les volontés de feu noble Jean de la Saulmée, dont il est biens tenant et ordonne deux-cents messes pour le repos de l’âme de sa fille noble Jane Ferrand, femme de noble Louis de Borne, son gendre, et laisse l’usufruit de ses biens à sa femme noble Ricardette de Salavas, faisant héritier universel noble Bertrand de Borne son petit-fils, fils desdits Louis et Jane.
Ledit Bertrand de Borne en son testament du se qualifie seigneur de la Saulmée, paroisse de Lablachère, y habitant. Il élit sa sépulture dans l’église Saint-Julien de cette paroisse, dans la chapelle qu’il a fait construire sous le vocable de Saint-Jean-Baptiste, suivant les intentions de feu noble Jean de la Saulmée et dans la tombe où son père est inhumé. Il ordonne des prières pour noble Bertrand, Pierre et Reymond Ferrand, Jean de la Saulmée, Jeanne Ferrand sa mère, etc. Il fait son héritier noble Jacques de Borne, son neveu, fils de feu noble Pierre, frère du testateur, acte passé au château de la Saulmée, dans la chambre neuve. Pierre de Borne devint donc seigneur de la Saulmée et successivement son fils et son petit-fils. Celui-ci, Charles de Borne, seigneur de la Saulmée, y demeurant, eut de noble Catherine de la Baume de Casteljau, trois fils disparus de la maison paternelle, déshérités par leur père par suite de leur mauvaise conduite et plusieurs filles dont la cadette Catherine seule se conduisit bien et fut mariée deux fois. D’abord à noble Annet de Rosilhes dont elle n’eut pas d’enfant et ensuite en 1587 à noble Gaspard de Chanaleilles, seigneur du Pin en la paroisse de Fabras, qui devenu veuf et sans enfant de ladite Catherine, n’en fut pas moins son héritier. Suivant les pactes du mariage, il quitta le château du Pin et vint demeurer à la Saulmée, où après son veuvage, il se remaria le à Jane de Rosilhes, fille de feu Guillaume, seigneur de Laurac et de Jane de Budos. Il acheta la totalité de la terre de la Saulmée à ses belles-sœurs le 1er mars 1595 et transmit le tout à ses enfants.
” Le une bande forte de 140 hommes armés, couverts d’une chemise sur leur habit, nouée d’une ceinture de corde, le visage barbouillé ou couvert d’une gaze ou d’un filet noir ; elle se rend à 9 heures du soir à la Blachère et va à la maison du Sr Salel, procureur; ils enfoncent les portes, le déterrent caché dans du foin, lui enlèvent sa montre et cent un louis, brisent ses armoires, enlèvent son linge, ses habits, ses provisions de bouche et brûlent ses papiers” (Jean Régné, op cité page 7).
“Lors de la vente des terres du duché de Joyeuse par S.A Marie Louise de Rohan-Soubise, comtesse de Marsan, la seigneurie de Lablachère fut vendue le , y compris Charus, Saint Andrè-Lachamp, le Viala, paroisse de Saint-Mélany, Rosières et le Bas-Balbiac pour la somme de 82 000 livres, à Jean-Louis de Chanaleilles, comte de la Saumés, devant Comte, notaire à Joyeuse.”(de Montravel).
Leur postérité s’est perpétuée jusqu’au XX siècle, demeurant l’été au château de la Saulmée et l’hiver dans leur hôtel de Joyeuse.*
Ayant abandonné le pays, ils vendirent le château à maître Charousset et l’hôtel à la famille Pellier de laquelle il fut acquis par M. Mathon, curé de Joyeuse, qui l’a donné à la ville pour le transformer en hôpital.
M. Paul-Aimé-René de Chanaleilles, marquis de la Saumès, s’est marié à Orléans où il demeure. En 1885, il a généreusement prêté son château de la Saulmée pour l’école libre, ayant racheté cette terre de M. Charousset, aliénée par son père. La branche aînée des marquis de Chanaleilles, qui avait acquis au début du XX siècle le château de Chambonas près des Vans, de la maison de la Garde, s’est éteinte en la personne de Sosthène de Chanaleilles qui n’a laissé de demoiselle de Crillon qu’une fille, mariée au marquis de Marcieu.
Par son testament, M. de Chanaleilles a laissé à son parent éloigné, le marquis de la Saumès, le château de Chambonas et en même temps le titre de marquis de Chanaleilles.
Le , au premier tour, la liste “LABLACHERE L’AVENIR TOUS ENSEMBLE” l’emporte .
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[18].
En 2019, la commune comptait 2 206 habitants, en augmentation de 8,3 % par rapport à 2013 (Ardèche : +2,47 %, France hors Mayotte : +2,17 %).