Faites votre demande de carte grise en ligne et recevez là directement chez vous en faisant confiance à un professionnel agréé par le ministère de l’Intérieur N°33958
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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Lachapelle-sous-Chanéac , est le même dans toute les villes Ardèche , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Lachapelle-sous-Chanéac est une commune française, située dans le département de l’Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Ses habitants sont appelés les Chapelous.
Lachapelle-sous-Chanéac se trouve dans les Hautes-Boutières. La commune est située à environ 70 kilomètres de Valence, 50 kilomètres de Privas, d’Aubenas et du Puy-en-Velay, dans la vallée de la Saliouse, rivière qui prend sa source au Mont Mézenc (1 753 mètres).
La commune est composée du village, ainsi que des hameaux des Pailharés et de la Chamoche, qui se trouvent dans la vallée a une altitude qui va de 600 à 700 mètres ; puis de plus petits hameaux ou fermes isolées qui s’étagent jusqu’à 1 000 mètres : le Suc, le Bouchet, la Moureyre, Pailhès Bas, Pailhès Haut, Bachasson, Féogoux, Chantossel.
Le paysage est constituée de terrasses, pâturages et forêts où dominent hêtres, merisiers, frênes, châtaigniers et sapin Douglas (plantations).
Le sol est constitué de roches volcaniques et métamorphiques dues à la proximité de la région des sucs qui sont à cheval sur les départements de l’Ardèche et de la Haute-Loire, à proximité du massif du Mézenc, du massif du Meygal et du mont Gerbier de Jonc. C’est une commune du parc naturel régional des Monts d’Ardèche.
Lachapelle-sous-Chanéac est limitrophe de trois communes, toutes situées dans le département de l’Ardèche et réparties géographiquement de la manière suivante :
Lachapelle-sous-Chanéac est une commune rurale,. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee[3][4].
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction du Cheylard, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5][6].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des forêts et milieux semi-naturels (87,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (87,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (21,9 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %), prairies (4,7 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[8].
Le nom de la localité provient de Capella. Pendant longtemps, l’histoire de Lachapelle-sous-Chanéac se confond avec celle de Chanéac et de ses seigneurs. On sait qu’il y avait à Lachapelle-sous-Chanéac, une église dédiée à saint Apollinaire attribuée par Pierre de Fay au XI siècle aux moines de l’abbaye de Pébrac, chanoines venus d’Auvergne[9].
Au moment de la Réforme, le village, comme toute cette partie des Boutières, a été le témoin des guerres de Religion. Jusqu’en 1790, Lachapelle formait une seule commune avec Chanéac et Saint-Clément. En 1793, en pleine Révolution française, le village se nommait Peledru.
Au XIX siècle, la communauté dépassait 630 habitants, les familles étaient nombreuses et vivaient de l’élevage, de la culture du seigle et de la châtaigne, comme dans les Cévennes toutes proches.
L’église actuelle a été bâtie en 1895 par le curé Vernet. L’ancienne église avait plus de 800 ans.
Le XX siècle a vu partir une partie de la population vers les villes de Valence, Grenoble, Saint-Étienne et Lyon, là où l’industrie se développait. Toutefois ces trente dernières années, le développement industriel du Cheylard (14 kilomètres), et de Saint-Martin-de-Valamas (4 kilomètres) a permis à une majorité de ses habitants de trouver du travail, dans l’industrie du textile et des bijoux, les services et administrations des environs.
Aujourd’hui, il reste trois exploitations agricoles, ovins et bovins, exploitants forestiers ; une activité artisanale avec trois entreprises, deux professions libérales, une auberge bar épicerie.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[13].
En 2019, la commune comptait 165 habitants, en diminution de 7,3 % par rapport à 2013 (Ardèche : +2,47 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Le village dispose d’un agréable plan d’eau sur la Saliouse, surveillé en été. Le village accueille en juin une des boucles de l’Ardéchoise : La Volcanique, en juillet la Transmézenc. Deux randonnées sont balisées au départ de la commune.