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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Lapeyrère , est le même dans toute les villes Haute-Garonne , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Lapeyrère est une commune française située dans le centre du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Volvestre, constitué des vallées de l’Arize et du Volp, proche de la vallée de la Garonne, situé au sud de Toulouse et en partie nord du Couserans. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l’Aunat, le Camedon et par divers autres petits cours d’eau.
Lapeyrère est une commune rurale qui compte 65 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 343 habitants en 1841. Elle fait partie de l’aire d’attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Peyrérois ou Peyréroises.
La commune de Lapeyrère se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Elle se situe à 45 km à vol d’oiseau de Toulouse, préfecture du département, à 28 km de Muret[2], sous-préfecture, et à 21 km d’Auterive, bureau centralisateur du canton d’Auterive dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Montesquieu-Volvestre.
Les communes les plus proches sont[4] : Canens (1,7 km), Méras (2,7 km), Latour (2,8 km), Bax (3,1 km), Loubaut (3,1 km), Sieuras (3,2 km), Castagnac (3,9 km), Castex (4,5 km).
Sur le plan historique et culturel, Lapeyrère fait partie du Volvestre, constitué des vallées de l’Arize et du Volp, proche de la vallée de la Garonne, situé au sud de Toulouse et en partie nord du Couserans.
Lapeyrère est limitrophe de six autres communes dont trois dans le département de l’Ariège.
La superficie de la commune est de 603 hectares ; son altitude varie de 271 à 394 mètres.
La commune est pour partie dans le bassin de l’Adour et pour partie dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne. Elle est drainée par l’Aunat, le Camedon, le ruisseau de Bernès, le ruisseau de la canaou et le ruisseau des Prats, constituant un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[9][Carte 1].
L’Aunat, d’une longueur totale de 21,7 km, prend sa source dans la commune de Sieuras (09) et s’écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Montaut, après avoir traversé 13 communes.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l’éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu’en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l’encadré ci-après.
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l’Énergie et du Climat complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Ybars », sur la commune de Saint-Ybars, mise en service en 1987 et qui se trouve à 7 km à vol d’oiseau[17][Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 790,3 mm pour la période 1981-2010. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le département de l’Ariège, mise en service en 1949 et à 27 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000, à 12,3 °C pour 1981-2010[21], puis à 12,7 °C pour 1991-2020.
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n’est recensé sur la commune dans l’inventaire national du patrimoine naturel,,.
Lapeyrère est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3][I 4].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (99,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (59,2 %), prairies (39,9 %), forêts (0,9 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 2].
Accès avec la route départementale D 74.
À partir du moyen Âge jusqu’à sa disparition en 1790 pendant la Révolution française, Lapeyrère faisait partie du diocèse de Rieux
Il existait manifestement un fief éponyme, puisque :
Le nombre d’habitants au recensement de 2011 étant compris entre 0 et 99, le nombre de membres du conseil municipal pour l’élection de 2014 est de sept,.
Commune faisant partie de la septième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes du Volvestre et du canton d’Auterive (avant le redécoupage départemental de 2014, Lapeyrère faisait partie de l’ex-canton de Montesquieu-Volvestre).
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].
En 2019, la commune comptait 65 habitants, en diminution de 9,72 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Lapeyrère fait partie de l’académie de Toulouse.
Chasse,
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l’environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du Volvestre.
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s’élève à 42 personnes, parmi lesquelles on compte 67,5 % d’actifs (55 % ayant un emploi et 12,5 % de chômeurs) et 32,5 % d’inactifs,. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l’aire d’attraction de Toulouse, du fait qu’au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle,. Elle compte 14 emplois en 2018, contre 12 en 2013 et 11 en 2008. Le nombre d’actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 26, soit un indicateur de concentration d’emploi de 54,9 % et un taux d’activité parmi les 15 ans ou plus de 51,7 %[I 9].
Sur ces 26 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 10 travaillent dans la commune, soit 40 % des habitants. Pour se rendre au travail, 56 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 12 % les transports en commun, 16 % s’y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 16 % n’ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
8 établissements sont implantés à Lapeyrère au [I 12]. Le secteur des activités immobilières est prépondérant sur la commune puisqu’il représente 25 % du nombre total d’établissements de la commune (2 sur les 8 entreprises implantées à Lapeyrère), contre 4,2 % au niveau départemental.
La commune est dans le Volvestre, une petite région agricole localisée dans l’est du département de la Haute-Garonne, constituée de collines de terrefort à fortes pentes autrefois consacrées à l’élevage s’orientent aujourd’hui vers les grandes cultures. En 2020, l’orientation technico-économique de l’agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage. Sept exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 12] (neuf en 1988). La superficie agricole utilisée est de 620 ha,,.