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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Le Cuing , est le même dans toute les villes Haute-Garonne , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Le Cuing est une commune française située dans l’ouest du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l’Ariège.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Louge, la Noue, le canal de Franquevielle à Cardeilhac, le Lanedon et par divers autres petits cours d’eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique.
Le Cuing est une commune rurale qui compte 472 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l’aire d’attraction de Saint-Gaudens. Ses habitants sont appelés les Cuingois ou Cuingoises.
La commune du Cuing se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Elle se situe à 84 km à vol d’oiseau de Toulouse, préfecture du département, et à 10 km de Saint-Gaudens[2], sous-préfecture.
Les communes les plus proches sont[3] : Loudet (3,2 km), Ponlat-Taillebourg (3,9 km), Saint-Plancard (4,1 km), Sédeilhac (4,6 km), Bordes-de-Rivière (4,6 km), Villeneuve-de-Rivière (5,2 km), Clarac (5,6 km), Larroque (5,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Le Cuing fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l’Ariège.
La superficie de la commune est de 1 305 hectares ; son altitude varie de 412 à 517 mètres.
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne. Elle est drainée par la Louge, la Noue, le canal de Franquevielle à Cardeilhac, le Lanedon, un bras de la Noue, le ruisseau de Bernesse, le ruisseau de Nussas, le ruisseau Préset et par un petit cours d’eau, constituant un réseau hydrographique de 25 km de longueur totale[8][Carte 1].
La Louge, d’une longueur totale de 100 km, prend sa source dans la commune de Villeneuve-Lécussan et s’écoule du sud-ouest vers le nord-est. Elle traverse la commune et se jette dans la Garonne à Muret, après avoir traversé 34 communes.
La Noue, d’une longueur totale de 44,2 km, prend sa source dans la commune de Franquevielle et s’écoule d’ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Mancioux, après avoir traversé 17 communes.
Le canal de Franquevielle à Cardeilhac, d’une longueur totale de 23,2 km, prend sa source dans la commune de Franquevielle et s’écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans la Nère à Cardeilhac, après avoir traversé 7 communes.
Le Lanedon, d’une longueur totale de 10,8 km, prend sa source dans la commune de Ponlat-Taillebourg et s’écoule d’ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans la Noue à Saint-Ignan, après avoir traversé 7 communes.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l’éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu’en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[14].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l’encadré ci-après.
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l’Énergie et du Climat complétée par des études régionales[17] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Clarac », sur la commune de Clarac, mise en service en 1994 et qui se trouve à 6 km à vol d’oiseau[19][Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 774,7 mm pour la période 1981-2010. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le département de l’Ariège, mise en service en 1949 et à 44 km[21], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000, à 12,3 °C pour 1981-2010[23], puis à 12,7 °C pour 1991-2020.
L’inventaire des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1 est recensée sur la commune[25] : les « prairies humides et milieux riverains des lits supérieurs de la Louge et la Noue » (798 ha), couvrant 7 communes du département et deux ZNIEFF de type 2[Note 6][25] :
Le Cuing est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Saint-Gaudens, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3][I 4].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (68,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (51,9 %), forêts (28,8 %), terres arables (16,4 %), zones urbanisées (2,9 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 2].
Accès avec la ligne régulière de transport interurbain du réseau Arc-en-ciel (anciennement SEMVAT) ainsi qu’en gare de Saint-Gaudens.
Le nombre d’habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l’élection de 2014 est de onze,.
Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes Nébouzan-Rivière-Verdun et du canton de Saint-Gaudens (avant le redécoupage départemental de 2014, Boudrac faisait partie de l’ex-canton de Montréjeau) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes Nébouzan-Rivière-Verdun. La commune est également membre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].
En 2019, la commune comptait 472 habitants, en augmentation de 5,59 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
A Montrejeau, gendarmerie, trésorerie, et à Saint-Gaudens, sous-préfecture, service des impôts, Hôpital, cadastre, hypothèques.
Le Cuing fait partie de l’académie de Toulouse.
L’éducation est assurée par un regroupement pédagogique intercommunal de la maternelle au primaire. Réparti sur trois écoles une sur les trois communes de l’RPI Larroque, Lodes et Le Cuing.
Le collège le plus proche se trouve à Montrejeau et le lycée à Saint-Gaudens.
Au centre du village il existe une EHPAD “l’horizon”.
Comité des fêtes, salle des fêtes,
Chasse, pétanque, aire de jeux,
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 162 ménages fiscaux, regroupant 393 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 290 €[I 5] (23 140 € dans le département).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s’élève à 258 personnes, parmi lesquelles on compte 69,8 % d’actifs (63,4 % ayant un emploi et 6,5 % de chômeurs) et 30,2 % d’inactifs,. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l’aire d’attraction de Saint-Gaudens, du fait qu’au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle,. Elle compte 138 emplois en 2018, contre 116 en 2013 et 125 en 2008. Le nombre d’actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 169, soit un indicateur de concentration d’emploi de 81,6 % et un taux d’activité parmi les 15 ans ou plus de 48,6 %[I 11].
Sur ces 169 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 28 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants. Pour se rendre au travail, 91,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,6 % les transports en commun, 1,7 % s’y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,4 % n’ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
27 établissements sont implantés au Cuing au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d’activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13][I 14]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l’hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu’il représente 33,3 % du nombre total d’établissements de la commune (9 sur les 27 entreprises implantées au Le Cuing), contre 25,9 % au niveau départemental.
La commune est dans les « Coteaux de Gascogne », une petite région agricole occupant une partie ouest du département de la Haute-Garonne, constitué d’un relief de cuestas et de vallées peu profondes, creusés par les rivières issues du massif pyrénéen, avec une activité de polyculture et d’élevage. En 2020, l’orientation technico-économique de l’agriculture[Note 14] sur la commune est l’élevage de bovins, pour la viande.
Le nombre d’exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 55 lors du recensement agricole de 1988 à 38 en 2000 puis à 18 en 2010[45] et enfin à 20 en 2020, soit une baisse de 64 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l’échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[46][Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 976 ha en 1988 à 827 ha en 2020. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 18 à 41 ha[45].