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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Léguevin , est le même dans toute les villes Haute-Garonne , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Léguevin (occitan : Legavin prononcé /’lɛ.gɔ.bi/ “Lègobi”) est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays toulousain, qui s’étend autour de Toulouse le long de la vallée de la Garonne, bordé à l’ouest par les coteaux du Savès, à l’est par ceux du Lauragais et au sud par ceux de la vallée de l’ Ariège et du Volvestre. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l’Aussonnelle, le Courbet, le ruisseau de Saint-Blaise, le ruisseau du paradis et par divers autres petits cours d’eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique.
Léguevin est une commune urbaine qui compte 9 359 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient à l’unité urbaine de Toulouse et fait partie de l’aire d’attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Léguevinois ou Léguevinoises.
Les habitants de Léguevin sont les Léguevinoises et les Léguevinois.
La commune de Léguevin se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Elle se situe à 17 km à vol d’oiseau de Toulouse, préfecture du département.
Les communes les plus proches sont[2] : Brax (1,7 km), La Salvetat-Saint-Gilles (4,0 km), Pibrac (4,6 km), Fontenilles (6,1 km), Plaisance-du-Touch (6,3 km), Pujaudran (6,8 km), Lasserre (6,8 km), Mérenvielle (7,0 km).
Sur le plan historique et culturel, Léguevin fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d’arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l’urbanisme des banlieues.
Léguevin est limitrophe de huit autres communes dont une dans le département du Gers. Ces communes sont :
-Pujaudran (Gers)
-Fontenilles
-La Salvetat-Saint-Gilles
-Plaisance-du-Touch
-Pibrac
-Brax
-Lasserre-Pradère
-Mérenvielle
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne. Elle est drainée par l’Aussonnelle, le Courbet, le ruisseau de Saint-Blaise, le ruisseau du paradis, la Moulinasse, la Moulinasse, le Couget, le ruisseau de la Goutille, le ruisseau de maudinat et par divers petits cours d’eau, constituant un réseau hydrographique de 32 km de longueur totale[6][Carte 1].
L’Aussonnelle, d’une longueur totale de 42,4 km, prend sa source dans la commune de Saint-Thomas et s’écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Seilh, après avoir traversé 12 communes.
Le Courbet, d’une longueur totale de 10,1 km, prend sa source dans la commune et s’écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans L’Aussonnelle à Colomiers, après avoir traversé 4 communes.
La superficie de la commune est de 2 445 hectares ; son altitude varie de 164 à 237 mètres.
Située sur l’ancien tracé de la route nationale 124 qui relie Toulouse à Auch à onze kilomètres à l’est de l’Isle-Jourdain. Depuis , la RN 124 ne dessert plus le bourg, la RN 124 dispose d’un nouveau tracé; une 2×2 voies. Auparavant, Léguevin était un des principaux points noirs routiers de l’agglomération toulousaine avant la réalisation de la déviation achevée en .
Léguevin partage une gare SNCF (Gare de Brax-Léguevin) avec la commune voisine de Brax. Cette desserte ferroviaire place Léguevin à 20 minutes du cœur de Toulouse en train. Depuis 2005, la SNCF a mis en place un service cadencé avec une rame toutes les 1/2 heures aux heures de pointe.
La ligne 305 du réseau Arc-en-Ciel relie le centre de la commune à la station Arènes du métro de Toulouse depuis Rieumes.
L’inventaire des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1 sont recensées sur la commune[10] :
et une ZNIEFF de type 2, : les « terrasses de Bouconne et du Courbet » (2 088 ha), couvrant 5 communes du département[14].
La découverte d’outils préhistoriques atteste que Léguevin fut occupé de bonne heure. Ces outils (galets aménagés en quartzite), sont difficiles à dater. Cependant, l’un d’eux, retrouvé sur les berges du Courbet serait daté de l’Acheuléen, période du Paléolithique inférieur. Une pierre de foyer serait datée du Néolithique, mais cette datation est controversée car certains pensent qu’étant donné qu’elle fut trouvée près de boulets de basalte utilisés pendant la guerre de Cent Ans, elle a très bien pu être amenée par les Anglais.
La sauveté de Léguevin est citée dès le XII siècle dans un document de 1108 dans lequel des nobles font donation de terres aux Hospitaliers dans le « territoire de Léguevin entre deux ruisseaux ». Ces deux ruisseaux sont le Courbet et le Paradis. La région est alors en effet en cours de défrichement par les frères hospitaliers de l’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem. Rien n’atteste de la présence d’un village à cette époque.
Le village de Léguevin a sans doute été créé au XIII siècle. À l’origine, il s’agissait d’une halte sur la via Tolosane destinée aux pèlerins qui se rendaient à Saint-Jacques-de-Compostelle par la voie d’Arles.
Le nom de Léguevin, vient de l’occitan Legavin, qui signifie 20 lieues, cet arrêt étant en effet situé à une vingtaine de lieues de la ville d’Auch. Léguevin a renoué avec cette tradition. Un accueil est à la disposition des pèlerins de Saint-Jacques. Il est situé près de la halle en plein cœur de la vieille cité.
Les premières constructions furent un hôpital et une église, construites à l’emplacement de la halle actuelle. Une commanderie fut construite à l’emplacement du château de Castelnouvel.
Une rivalité s’établira entre les Hospitaliers et Jourdain V (qui donna son nom à L’Isle-Jourdain). Le un accord de paréage mit fin à la brouille et fit de Léguevin une bastide. Un odonyme local (place du 28-Novembre-1309) rappelle cet événement.
Léguevin subit l’occupation des anglais à partir de 1344 lors de la guerre de Cent Ans et le passage destructeur du Prince Noir en 1355. On décida alors de procéder à la fortification du village qui fut achevée le . Léguevin fut rattachée successivement au comté de l’Isle-Jourdain, au comté d’Armagnac puis aux rois de Navarre. Henri III de Navarre, futur Henri IV de France, fut seigneur de Léguevin de 1572 à 1579 et traversera Léguevin en 1579 et 1580. Le la seigneurie de Léguevin passera à Guy Du Faur de Pibrac.
Léguevin ne sera pas épargné par les guerres de religion au XVI siècle. En les troupes de Blaise de Montluc traversèrent Léguevin ; le curé Balthazar Vintimiglia fut suspecté de protestantisme et arrêté ; et le village fut mis à sac par une troupe de protestants le .
Louis XIV passera à Léguevin en 1659, et Napoléon en juillet 1808.
Léguevin fut incorporé au département de la Haute-Garonne en 1790.
Une municipalité révolutionnaire fut créée à l’instigation du curé en août 1789. L’Hôtel de Ville fut pris et pillé par des manifestants à deux reprises, le et le . Un contingent de prisonniers espagnols séjourna dans le village en 1795, accentuant les difficultés provoquées par la famine de 1794. Les 8 et des royalistes abattirent l’arbre de la Liberté et renversèrent l’autel de la Patrie.
Du 26 au les troupes de Wellington occupèrent Léguevin. Ce furent près de 7 000 fantassins et 800 cavaliers, placés sous le commandement du lieutenant général, sir Rowland Hill, qui séjournèrent sur la commune.
Léguevin appartient à l’arrondissement de Toulouse et au canton de Léguevin, redécoupé en 2014, dont elle est le bureau centralisateur.
Pour l’élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription de la Haute-Garonne, représentée depuis 2007 par Monique Iborra (LREM, ex-PS).
Depuis le , date de sa création, la commune appartient à la communauté de communes Le Grand Ouest Toulousain.
Le nombre d’habitants au recensement de 2017 étant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l’élection de 2020 est de vingt-neuf,.
Cette sous-section présente la situation des finances communales de Léguevin.
Pour l’exercice 2013, le compte administratif du budget municipal de Léguevin s’établit à 12 373 000 € en dépenses et 11 589 000 € en recettes :
En 2013, la section de fonctionnement se répartit en 7 367 000 € de charges (849 € par habitant) pour 8 453 000 € de produits (974 € par habitant), soit un solde de 1 085 000 € (125 € par habitant)[A2 1][A2 2] :
Les taux des taxes ci-dessous sont votés par la municipalité de Léguevin. Ils ont varié de la façon suivante par rapport à 2012[A2 3] :
La section investissement se répartit en emplois et ressources. Pour 2013, les emplois comprennent par ordre d’importance[A2 4] :
Les ressources en investissement de Léguevin se répartissent principalement en :
L’endettement de Léguevin au peut s’évaluer à partir de trois critères : l’encours de la dette, l’annuité de la dette[Note 12] et sa capacité de désendettement :
En l’espace de cinq décennies, Léguevin est passée d’une population de 1 000 habitants environ en 1950 à près de 7 000 en 2005. Cette multiplication par 7 a eu de profondes répercussions sur l’ambiance de la commune. Initialement centrée sur l’activité agricole, Léguevin est maintenant une ville dynamique de la grande agglomération toulousaine. L’urbanisation rapide se poursuit à partir de 2006 avec la mise en place de nouvelles ZAC qui permettent un développement économique.
Léguevin fait partie de l’académie de Toulouse.
La ville de Léguevin dispose de trois écoles maternelles, de trois écoles élémentaires (école primaire des Gachots, école primaire Madeleine Brès et école primaire Jules-Ferry) ainsi que du collège Forain François-Verdier.
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 3 937 ménages fiscaux, regroupant 9 510 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 25 360 €[I 2] (23 140 € dans le département). 62 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 16] (55,3 % dans le département).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s’élève à 6 324 personnes, parmi lesquelles on compte 82 % d’actifs (75,2 % ayant un emploi et 6,8 % de chômeurs) et 18 % d’inactifs,. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l’aire d’attraction de Toulouse, du fait qu’au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle,. Elle compte 1 391 emplois en 2018, contre 1 376 en 2013 et 1 309 en 2008. Le nombre d’actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 4 789, soit un indicateur de concentration d’emploi de 29 % et un taux d’activité parmi les 15 ans ou plus de 70,5 %[I 8].
Sur ces 4 789 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 627 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants. Pour se rendre au travail, 88,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,3 % les transports en commun, 5 % s’y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,2 % n’ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
536 établissements sont implantés à Léguevin au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d’activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 19][I 11].
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l’hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu’il représente 23,7 % du nombre total d’établissements de la commune (127 sur les 536 entreprises implantées à Léguevin), contre 25,9 % au niveau départemental.
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d’affaires en 2020 sont :
L’artisanat ainsi que le commerce y sont bien représentés : 180 artisans et commerçants en 2015.
La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant une partie nord-ouest du département de la Haute-Garonne, caractérisée par une succession de coteaux peu accidentés, les surfaces cultivées étant entièrement dévolues aux grandes cultures. En 2020, l’orientation technico-économique de l’agriculture[Note 20] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage.
Le nombre d’exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 41 lors du recensement agricole de 1988 à 19 en 2000 puis à 21 en 2010[33] et enfin à 24 en 2020, soit une baisse de 41 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l’échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[34][Carte 5]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 405 ha en 1988 à 1 223 ha en 2020. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 34 à 51 ha[33].
La population de Léguevin a connu un développement très rapide lié à l’activité aéronautique de l’agglomération toulousaine et plus précisément de Colomiers. Sa population, qui n’atteignait pas 1 000 habitants en 1950, compte en 2012 8 629 personnes. Site du fabricant de tuile en terre cuite pour toiture la tuilerie Edilians.
Les terres de la commune de Léguevin, essentiellement argileuses, occupent la troisième terrasse de la Garonne. La présence de galets de grande taille en est le témoignage le plus évident. Les sols sont par conséquent lourds et difficiles à travailler.
La culture de la vigne qui occupait une partie importante de la commune jusque dans les années trente a aujourd’hui totalement disparu. Elle a été remplacée par la polyculture élevage dans les années 1950 puis par la spécialisation à partir du milieu des années 1970.
Aujourd’hui trois fermes développent encore une activité d’élevage, les autres se sont tournées vers les cultures. Les céréales (blé, maïs et orge), le tournesol et le colza se partagent la sole. L’explosion démographique des vingt dernières années et le développement anarchique des zones pavillonnaires provoquent une concurrence pour l’appropriation du foncier. Les rendements observés sont faibles et sujets à de fortes variations interannuelles liées aux différences notables de précipitations observées entre les différents printemps.
Léguevin possède un service départemental d’incendie et de secours, une gendarmerie, une poste, un service de police municipale,
Les Duckies de Léguevin équipe de baseball évoluant en Championnat de France de baseball Nationale 2 saison 2013, 2011 et 2008. Piscine municipale, union sportive de Leguevin Football, club de Rugby à XV le Coq Léguevinois, Une équipe de basket est également présente sur la commune : le Basket Club Léguevinois
Centre Communal d’Action Sociale, maison de retraite “CURTIS”, centre social “La Maison des Quartiers”,
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l’environnement se font dans le cadre de la communauté de communes de la Save au Touch.
Léguevin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,. Elle appartient à l’unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[I 14] et 1 035 280 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L’agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française),.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 17][I 18].
Le développement moderne de Léguevin s’est réalisé, comme dans de très nombreuses communes périurbaines, sans planification urbanistique cohérente. L’agglomération est devenue au fil des années une banlieue dortoir de Colomiers et de Toulouse. Comme il n’y a pas de centre-ville vivant, la vie sociale est réduite au strict minimum.
Les fermes traditionnelles étaient construites en brique crue et en galet, matériaux que les paysans prélevaient dans leurs champs et dans les cours d’eau du Courbet et du Paradis. Les murs de ces maisons rurales pouvaient atteindre jusqu’à 50 centimètres d’épaisseur. Ils offraient une isolation, particulièrement appréciée aux mois de juillet et d’août ou les températures n’hésitent pas à flirter avec les 40 °C. L’intérieur de ces maisons gardait une précieuse fraicheur.
Les fenêtres étaient en majorité disposées sur la façade est des maisons. Le mur à l’ouest, d’où viennent les précipitations étaient généralement sans ouvertures. La taille des fenêtres tournées vers le sud étaient volontairement limitée pour réduire les températures estivales.
La forêt de Bouconne fournissait les poutres de chêne nécessaires à la construction des charpentes. Les toitures étaient constituées uniquement de briques romaines.
En règle générale, les maisons de Léguevin étaient donc construites avec des matériaux locaux, ce qui limitait les transports sur les longues distances et leur implantation visaient essentiellement à réduire la température des mois les plus chauds de l’année en privilégiant les façades vers l’est.