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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Les Aix-d’Angillon , est le même dans toute les villes Cher , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Les Aix-d’Angillon est une commune française située dans le département du Cher, en région Centre-Val de Loire.
Les Aix-d’Angillon est une commune rurale,. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee[2][3].
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Bourges, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4][5].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (87,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,4 %), zones urbanisées (10,3 %), forêts (2 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %), prairies (0,8 %).
L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l’IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune des Aix-d’Angillon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses. Un site publié par le BRGM permet d’évaluer simplement et rapidement les risques d’un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[8].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux. Cet aléa est susceptible d’engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 91,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 935 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 410 sont en en aléa moyen ou fort, soit 44 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l’exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[10][Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1995, 1997, 2002, 2006 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999.
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d’une canalisation de transport d’hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence.
Alphonse Buhot de Kersers a rappelé les formes prises par le nom du village repérées dans les actes. Pour Aix, il note, en 1012, les formes hajensis et aiensis, puis aias en 1031 et 1195, castrum de aiis en 1301, de castrum de aiis, de aiis Gillonis au XV siècle, ays d’Angelon en 1439 et 1448, finalement Les Aix d’Angillon à partir du XVIIe siècle. Gaspard Thaumas de La Thaumassière remarque que le mot primitif de haia ou haie était un nom donné par les Francs à leurs forteresses. Ce nom semble montrer que la fondation du village doit remonter aux invasions barbares. Les Aix a d’abord fait partie de la paroisse Valentigny et n’est devenu une paroisse qu’au XVII siècle, ce qui concourt à confirmer que sa fondation est postérieure aux fondations des paroisses chrétiennes[12].
Premier seigneur connu : Humbaud chevalier des Aix (1012-1040), peut-être cadet de la famille ligérienne de Sully (aujourd’hui Sully-sur-Loire). La documentation ne permet pas de définir s’il s’agit d’un apanage ou d’un fief dévolu à une branche cadette des Sully, mais Gilon de Sully s’en dit seigneur en 1085 (A.D. Cher 14 G 290).
L’étymologie du toponyme rappelle la présence d’une fortification primitive : la Haie Dam Gilon (forteresse du seigneur Gilon). Les vues aériennes permettent de distinguer la trace circulaire des défenses médiévales conservées par le plan des rues.
La paroisse et le village étaient situés à l’origine à Valentigny, jusqu’à la construction du château aux Aix-d’Angillon. Le château a créé un pôle d’attraction, et le village s’est petit à petit presque entièrement déplacé, jusqu’à ce que le village d’origine ne soit qu’un simple hameau. Le cimetière y est resté. La résistance des autorités religieuses au changement fit que la paroisse ne fut déplacée à l’église du village principal qu’au XVIIe siècle.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[17].
En 2019, la commune comptait 1 889 habitants, en diminution de 0,63 % par rapport à 2013 (Cher : −3 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris.