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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Loubens-Lauragais , est le même dans toute les villes Haute-Garonne , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Loubens-Lauragais est une commune française située dans le nord-est du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l’ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Girou, le Peyrencou, la Vendinelle et par divers autres petits cours d’eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d’une zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique.
Loubens-Lauragais est une commune rurale qui compte 451 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l’aire d’attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Loubensois ou Loubensoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château de Loubens, inscrit en 1991 puis classé en 1995.
La commune de Loubens-Lauragais se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Elle se situe à 28 km à vol d’oiseau de Toulouse, préfecture du département, et à 22 km de Revel[2], bureau centralisateur du canton de Revel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Caraman[I 1].
Les communes les plus proches sont[3] : Vendine (2,3 km), Albiac (2,4 km), Villeneuve-lès-Lavaur (2,8 km), Mascarville (3,1 km), Francarville (3,1 km), Le Faget (3,1 km), Maurens-Scopont (3,4 km), La Salvetat-Lauragais (3,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Loubens-Lauragais fait partie du Lauragais, occupant une vaste zone, autour de l’axe central que constitue le canal du Midi, entre les agglomérations de Toulouse au nord-ouest et Carcassonne au sud-est et celles de Castres au nord-est et Pamiers au sud-ouest. C’est l’ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ».
Loubens-Lauragais est limitrophe de sept autres communes dont deux dans le département du Tarn.
La superficie de la commune de Loubens-Lauragais est de 647 hectares. Son altitude varie de 164 à 245 mètres.
Accès par la route départementale 42 (ex- N.126) et la route départementale 826 (ex- D.1).
La ligne 381 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la station Balma – Gramont du métro de Toulouse depuis Le Faget.
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne. Elle est drainée par le Girou, le Peyrencou, la Vendinelle, le ruisseau du Mariel et par divers petits cours d’eau, constituant un réseau hydrographique de 13 km de longueur totale[8][Carte 1].
Le Girou, d’une longueur totale de 64,5 km, prend sa source dans la commune de Puylaurens (81) et s’écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l’Hers-Mort à Saint-Jory, après avoir traversé 31 communes.
Le Peyrencou, d’une longueur totale de 15,1 km, prend sa source dans la commune de Montégut-Lauragais et s’écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans Le Girou à Villeneuve-lès-Lavaur (81), après avoir traversé 7 communes.
La Vendinelle, d’une longueur totale de 19,7 km, prend sa source dans la commune de Saint-Félix-Lauragais et s’écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il se jette dans Le Girou sur le territoire communal, après avoir traversé 6 communes.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l’éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu’en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[13].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l’encadré ci-après.
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l’Énergie et du Climat complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ségreville », sur la commune de Ségreville, mise en service en 1961 et qui se trouve à 10 km à vol d’oiseau[18][Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 734,5 mm pour la période 1981-2010. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947 et à 33 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000, à 13,8 °C pour 1981-2010[22], puis à 14,3 °C pour 1991-2020.
L’inventaire des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1 est recensée sur la commune[24] : « la Vendinelle, le Girou et prairies annexes » (28 ha), couvrant 10 communes dont huit dans la Haute-Garonne et deux dans le Tarn.
Loubens-Lauragais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3][I 4].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89,6 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), prairies (2,8 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 2].
La commune faisait partie du comté de Caraman.
Le nombre d’habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l’élection de 2014 est de onze,.
La commune fait partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes des Terres du Lauragais et du canton de Revel (avant le redécoupage départemental de 2014, Loubens-Lauragais faisait partie de l’ex-canton de Caraman et avant le elle faisait partie de la communauté de communes Cœur Lauragais.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].
En 2019, la commune comptait 451 habitants, en augmentation de 4,16 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Loubens-Lauragais fait partie de l’académie de Toulouse.
L’éducation est assurée par un regroupement pédagogique intercommunal de la maternelle commune de Le Faget et école élémentaire sur la commune.
Médiathèque,
Chasse, randonnée pédestre,
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l’environnement se font dans le cadre de la communauté de communes Cœur Lauragais.
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 177 ménages fiscaux, regroupant 456 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 24 400 €[I 5] (23 140 € dans le département).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s’élève à 301 personnes, parmi lesquelles on compte 83,9 % d’actifs (74,4 % ayant un emploi et 9,6 % de chômeurs) et 16,1 % d’inactifs,. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu’il était supérieur à celui de la France en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l’aire d’attraction de Toulouse, du fait qu’au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle,. Elle compte 56 emplois en 2018, contre 48 en 2013 et 35 en 2008. Le nombre d’actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 227, soit un indicateur de concentration d’emploi de 24,6 % et un taux d’activité parmi les 15 ans ou plus de 71,4 %[I 11].
Sur ces 227 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 35 travaillent dans la commune, soit 15 % des habitants. Pour se rendre au travail, 92,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,4 % les transports en commun, 2,1 % s’y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,6 % n’ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
44 établissements sont implantés à Loubens-Lauragais au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d’activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12][I 14].
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu’il représente 31,8 % du nombre total d’établissements de la commune (14 sur les 44 entreprises implantées à Loubens-Lauragais), contre 19,8 % au niveau départemental.
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol. En 2020, l’orientation technico-économique de l’agriculture[Note 14] sur la commune est la culture de céréales et/ou d’oléoprotéagineuses. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 15] (16 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 384 ha,,.