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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Magnant , est le même dans toute les villes Aube , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Magnant est une commune française, située dans le département de l’Aube en région Grand Est.
La commune de Magnant est située à proximité du lac d’Orient
Le cadastre de 1813 cite : Bouchot, Chanet, Cour de Villiers, Dusy, le Foulon, Grande-Borne, voie de Lambry, bois de Magnant[2], Maladière, les Masures, la Motte, Moulins-à-vents et Vieux-Moulin, Saint-Antoine, Saint-Hilaire et Villiers-le-Bourg au territoire.
Magnant est cité dès le XII siècle dans le cartulaire de Molesme[3].
Magnant est une commune rurale,. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee[5][6].
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Bar-sur-Seine, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7][8].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (88,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,3 %), forêts (8,5 %), prairies (3,8 %), zones agricoles hétérogènes (3,5 %), zones urbanisées (1,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[10].
Le fief relevait de Bars-sur-Seine, cité en 1206 par un acte de transaction entre Milon, comte de Bar et Gui de Jully. EN 1762, Olympe Jubert du Thil était dame de Magnant et l’épouse de César-François, comte de Chastellux. L’abbaye de Montiéramey était seigneur depuis 1178 de tout ou partie de Magnant.
En 1789, le village dépendait de l’intendance et de la généralité de Châlons, de l’élection de Bar-sur-Aube et du bailliage de Troyes.
Le général de Gaulle est venu à Magnant le , Magnant est la commune où le maréchal Leclerc a été blessé durant la guerre.
Entre le et le , Magnant était au canton de Marolles-les-Bailly puis au canton de Bar jusqu’en l’an X.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[14].
En 2019, la commune comptait 160 habitants, en diminution de 7,51 % par rapport à 2013 (Aube : +1,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Ancien hameau qui est cité en 1154 lorsque Garnier de Vilers est témoin pour un accord avec l’abbaye de Beaulieu. La grange de Villiers apparaît en 1178 dans une bulle d’Alexandre III qui confirme la possession par l’abbaye de Montiéramey. Il dépendait de la Mairie royale de Lusigny. En 1770 le hameau avait vingt maisons et soixante communiants.
Ancien fief de la châtellenie de Bar-sur-Seine cité dès 1338 qui était à l’abbaye de Montiéramey en 1178.
Aussi noté Villere. Hameau cité en 1386. Une grange de l’abbaye de Montiéramey citée en 1630. En 1847 il y avait cent habitants.