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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Mars-sous-Bourcq , est le même dans toute les villes Ardennes , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Mars-sous-Bourcq est une commune française, située dans le département des Ardennes en région Grand Est. Ses habitants sont appelés les Martiens.
Le site de Mars-sous-Bourcq est dominé par la Côte de Champagne, excroissance de craie en limite du Bassin parisien, et en particulier par la butte de Bourcq. Le village est situé entre la butte de Bourcq et la vallée de l’Aisne. Il est sur une ligne de partage entre les sols de marnes (mélange de craie et d’argile) et les sols de gaize (roche d’origine sédimentaire). La vallée de l’Aisne qui a creusé la gaize est bloquée en profondeur par des couches d’argile, de sables verts et de calcaire.
Mars-sous-Bourcq est une commune rurale,. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee[4][5].
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Vouziers, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[6][7].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (97,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (97,6 %), forêts (2,3 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[9].
Le nom du village évoque irrésistiblement le dieu romain de la guerre, Mars. L’historien du Vouzinois, Octave Guelliot juge que l’hypothèse d’un nom provenant d’un ancien temple gallo-romain n’est pas totalement invraisemblable..
Mais il trouve plus convaincante l’analyse d’Auguste Longnon. Celui-ci s’appuie sur des rééditions par Benjamin Guérard de manuscrits de l’abbaye de Saint-Remi de Reims et sur les noms de localités du Porcien et du pays de Voncq y figurant, établissant la correspondance avec les noms actuels. Il en ressort que Mars-sous-Bourcq s’appelait en l’an mil Medarcum. Le d a été progressivement avalé, donnant Mearc puis Marc et enfin Mar ou Mars, la prononciation locale assourdissant la consonne finale.
Pour Octave Guelliot, cette hypothèse est confirmée par d’autres documents puisqu’on trouve Mearco dans une charte de 1119 de l’archevêque de Reims Raoul Le Vert. On trouve Marc dans un document de 1387 (Marc dessoubz Bourg).
Au XIV siècle, Mart est la forme la plus utilisée , et Mars apparaît pour la première fois au milieu du XVe siècle.
Au lieu-dit Saint-Léger, sur la partie ouest du territoire de la commune, un cimetière franc a été trouvé en 1913, avec des squelettes accroupis, des débris de poteries et différents objets, montrant une occupation ancienne de ce site dominé par la butte de Bourcq.
Une charte de 1119 de l’archevêque de Reims Raoul Le Vert citait une église à Mars avec comme dépendances des chapelles à Bourcq[10]. Une maladrerie fut édifiée à la même époque en bas de la butte de Bourcq, entre le chemin reliant Bourcq à Mars et celui reliant Bourcq à Vouziers. La chapelle de cette maladrerie était sur les terres de Mars.
L’église fut rebâtie au XV siècle et fortifiée en 1587, en pleine guerre de religion[13].
Les terres appartenaient aux comtes de Rethel puis se trouvèrent fragmentées entre différents fiefs et propriétaires.
À la veille de la Révolution, les d’Ambly se disaient seigneurs de différents lieux dont Mars. C’est le cas de Claude Jean Antoine, marquis d’Ambly, syndic de la noblesse de Champagne, vivant essentiellement à Reims, élu en 1789 aux Etats-Généraux par le bailliage de Reims[15], avant d’émigrer.
Le chirurgien Jean-Baptiste Caqué, originaire de Machault, possédait également une ferme à Mars, qu’il légua à son fils Henry Caqué, doyen de la Faculté de médecine de Reims, qui lui-même la légua à sa mort en 1805 à la ville de Reims. La ville de Reims l’a mis en vente en 1900.
De même, l’Hotel-Dieu de Rethel disposait d’une ferme sur la commune.
Un écuyer, Jean Baptiste de Coulon, était installé dans un manoir au lieu-dit Monplaisir, entre Mars et Blaise (commune aujourd’hui annexée par Vouziers). Ce manoir fut transmis par la suite à Charles Gaignières, chirurgien à Vouziers.
Aux limites des terres entre Mars-sous-Bourcq et Grivy, un moulin fonctionna jusqu’en 1884.
De 1828 à 1871, la commune de Mars-sous-Bourcq était fusionnée avec la commune de Bourcq. Puis elle retrouva son autonomie en 1871.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].
En 2019, la commune comptait 58 habitants, en augmentation de 7,41 % par rapport à 2013 (Ardennes : −3,68 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
L’église Saint-Martin est classée Monument historique depuis 1920.