Faites votre demande de carte grise en ligne et recevez là directement chez vous en faisant confiance à un professionnel agréé par le ministère de l’Intérieur N°33958
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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Massugas , est le même dans toute les villes Gironde , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Massugas est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
La commune se trouve dans l’Entre-deux-Mers, à 64 km à l’est de Bordeaux, chef-lieu du département, à 44 km au nord-est de Langon, chef-lieu d’arrondissement et à 3 km au nord de Pellegrue, chef-lieu de canton.
Les communes limitrophes en sont Saint-Quentin-de-Caplong au nord-est, Caplong à l’est, Pellegrue au sud, Coubeyrac au nord-ouest et Gensac au nord.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l’éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu’en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l’encadré ci-après.
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l’Énergie et du Climat complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Lèves-et-Thoumeyragues », sur la commune des Lèves-et-Thoumeyragues, mise en service en 1984 et qui se trouve à 8 km à vol d’oiseau[9][Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de précipitations de 827,7 mm pour la période 1981-2010. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, dans le département de la Dordogne, mise en service en 1988 et à 33 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000, à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020.
Massugas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,. La commune est en outre hors attraction des villes[18][19].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (83 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (55 %), zones agricoles hétérogènes (21,7 %), forêts (17,1 %), terres arables (5,6 %), prairies (0,7 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].
Les principales voies de communication routière sont la route départementale D128e7 qui relie le bourg à Pellegrue au sud et la route départementale D128 qui mène, vers le sud-ouest, à Listrac-de-Durèze et, vers le nord-est, à Saint-Quentin-de-Caplong.
L’accès le plus proche à l’autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) est le n 4, dit de La Réole, distant de 37 km par la route vers le sud-sud-ouest.
L’accès no 1, dit de Bazas, à l’autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 55 km vers le sud-ouest.
L’accès le plus proche à l’autoroute A89 (Bordeaux-Lyon) est le n 12, dit de Montpon, qui se situe à 31 km vers le nord.
La gare SNCF la plus proche est celle, distante de 28 km par la route, vers le sud-sud-ouest, de La Réole, sur la ligne Bordeaux-Sète du TER Nouvelle-Aquitaine.
Le toponyme vient de l’occitan massuga qui signifie « massette », avec le suffixe augmentatif -às (ou le collectif pluriel -ars).
Le nom gascon en est Massugàs.
Ses habitants sont appelés les Massugais.
À la Révolution, la paroisse Notre-Dame de Massugas et son annexe, Sainte-Cécile de Bouffiagues, forment la commune de Massugas.
La commune absorbe, avant 1806, la commune voisine de Saint-Martin-de-Servole[24].
Le , la communauté de communes du Pays de Pellegrue ayant été supprimée, la commune de Massugas s’est retrouvée intégrée à la communauté de communes du pays Foyen siégeant à Pineuilh.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].
En 2019, la commune comptait 225 habitants, en diminution de 5,06 % par rapport à 2013 (Gironde : +7,85 %, France hors Mayotte : +2,17 %).