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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Mervilla , est le même dans toute les villes Haute-Garonne , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Mervilla est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne en région Occitanie. Mervilla fait partie de la communauté d’agglomération du Sicoval. Ses habitants sont appelés les Mervillageois.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l’ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de Réganel et par divers autres petits cours d’eau.
Mervilla est une commune rurale qui compte 291 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle appartient à l’unité urbaine de Toulouse et fait partie de l’aire d’attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Mervillageois ou Mervillageoises.
Commune résidentielle des coteaux du sud-est toulousain, l’originalité majeure de Mervilla, à 10 minutes de la station de métro de Ramonville, réside encore dans une identité agricole affirmée.
La commune de Mervilla se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Elle se situe à 11 km à vol d’oiseau de Toulouse, préfecture du département, et à 2 km de Castanet-Tolosan[2], bureau centralisateur du canton de Castanet-Tolosan dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].
Les communes les plus proches sont[3] : Vigoulet-Auzil (1,1 km), Rebigue (2,2 km), Castanet-Tolosan (2,2 km), Auzeville-Tolosane (2,3 km), Pechbusque (2,5 km), Vieille-Toulouse (2,9 km), Péchabou (2,9 km), Aureville (3,3 km).
Mervilla est limitrophe de six autres communes.
Mervilla est une commune du Lauragais géographique qui constitue une région naturelle dont l’identité est à la fois géologique, climatique et agricole. Le Lauragais géographique en tant que tel constitue une région agricole française. Sur le plan géologique, les sols de Mervilla sont représentatifs des mollasses du Lauragais, qui sont des dépôts lacustres et fluviatiles de l’Oligocène[6][7]. Ces mollasses sont appelées terrefort quand elles sont argilo-calcaires, comme c’est le cas sur les coteaux de Mervilla, et elles ont alors une très bonne valeur agronomique notamment en tant que terre à blé, vocation historique du Lauragais. Ces coteaux mollassiques sont entaillés de multiples vallons avec de petits ruisseaux comme ceux qui existent sur la commune (voir le plan de Mervilla).
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne. Elle est drainée par le ruisseau de Réganel, le ruisseau de Balanguier, le ruisseau de la Fargue, le ruisseau de Naisse, le ruisseau d’en-Gros, le ruisseau des Lacardes et par un petit cours d’eau, constituant un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[10][Carte 1].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l’éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu’en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l’encadré ci-après.
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l’Énergie et du Climat complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulouse-Francazal », sur la commune de Cugnaux, mise en service en 1922 et qui se trouve à 11 km à vol d’oiseau[17][Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000, à 14,1 °C pour 1981-2010[19], puis à 14,3 °C pour 1991-2020.
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n’est recensé sur la commune dans l’inventaire national du patrimoine naturel,,.
Mervilla est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,. Elle appartient à l’unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[I 3] et 1 035 280 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue. L’agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française),.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6][I 7].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (78,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (78,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (73 %), forêts (17,9 %), terres arables (5,7 %), zones urbanisées (3,4 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 2].
Le TAD 119 du réseau Tisséo relie la commune à la station Ramonville du métro de Toulouse.
Mervilla et les familles Bérail et Fieubet. Durant les XVI et XVIIe siècles en particulier, l’histoire de Mervilla est notamment associée à celle de deux familles seigneuriales : les Bérail dont un des membres a été Capitoul, et les Fieubet qui s’installèrent à Mervilla en 1577 et acquirent la seigneurie de Mervilla, Rebigue et Castanet-Tolosan. Pour l’histoire des Fieubet et de leur implantation à Mervilla on consultera la notice qui leur a été consacrée.
Le nombre d’habitants au recensement de 2017 étant compris entre 100 habitants et 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l’élection de 2020 est de onze,.
Commune faisant partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne, du Sicoval et du canton de Castanet-Tolosan.
On se reportera à la fiche descriptive élaborée pour Mervilla par le Sicoval.
Tout en affirmant son identité agricole aux portes de Toulouse, Mervilla fait état de deux nouveaux permis de construire par an et d’un POS qui prévoit à terme un maximum de 400 habitants.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].
En 2019, la commune comptait 291 habitants, en augmentation de 11,49 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
L’évolution démographique de la commune montre un accroissement modéré au cours de la première moitié du XIX siècle (avec une chute inexpliquée en 1841 suivie d’une remontée et d’un maximum en 1846) puis une diminution régulière suivie d’une stagnation entre 1850 et 1950. Cette évolution se retrouve dans la plupart des communes rurales françaises avec des cinétiques variables suivant les régions et les communes. Dans le cas des communes du Lauragais, elle est communément rapportée aux crises agricoles, notamment à la baisse du prix du blé du fait des importations de blé de Russie puis des États-Unis, à partir de 1850. L’exode rural vers la ville qui offre de meilleurs salaires aux actifs salariés agricoles (brassiers, bordiers du Lauragais), joue aussi un rôle important[39], les deux facteurs étant d’ailleurs liés. Après les pertes humaines de la Grande Guerre, la revitalisation sera le fait de l’immigration, d’italiens principalement. Malgré le retour d’une situation agricole favorable avec les règlements céréaliers de La PAC dans les années 1960, l’exode rural se poursuivra parallèlement à la modernisation du système agricole dans son ensemble : mécanisation, remembrement, organisation économique.
L’expansion de l’agglomération urbaine toulousaine est associée à un accroissement démographique rapide des communes de cette agglomération. C’est le cas des communes des coteaux toulousains bénéficiant d’un bon accès aux réseaux urbains et périurbains. Par comparaison aux autres communes dans la même situation géographique, Mervilla a longtemps freiné cette urbanisation ce qui lui confère l’originalité agricole qu’elle a préservée jusqu’à présent.
Mervilla fait partie de l’académie de Toulouse.
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l’environnement se font dans le cadre du Sicoval.
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 105 ménages fiscaux, regroupant 307 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 40 690 €[I 8] (23 140 € dans le département).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s’élève à 161 personnes, parmi lesquelles on compte 83,2 % d’actifs (78,3 % ayant un emploi et 5 % de chômeurs) et 16,8 % d’inactifs,. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l’aire d’attraction de Toulouse, du fait qu’au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle,. Elle compte 42 emplois en 2018, contre 33 en 2013 et 36 en 2008. Le nombre d’actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 128, soit un indicateur de concentration d’emploi de 32,9 % et un taux d’activité parmi les 15 ans ou plus de 62,1 %[I 14].
Sur ces 128 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 12 travaillent dans la commune, soit 9 % des habitants. Pour se rendre au travail, 84,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,3 % les transports en commun, 4 % s’y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,5 % n’ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].
29 établissements sont implantés à Mervilla au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d’activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11][I 17]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu’il représente 37,9 % du nombre total d’établissements de la commune (11 sur les 29 entreprises implantées à Mervilla), contre 19,8 % au niveau départemental.
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol. En 2020, l’orientation technico-économique de l’agriculture[Note 13] sur la commune est la culture de céréales et/ou d’oléoprotéagineuses. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (cinq en 1988). La superficie agricole utilisée est de 270 ha,,.
À l’intérieur de l’église se trouve la dalle funéraire armoriée datée de 1603, classée aux Monuments historiques, d’Arnaud de Fieubet, secrétaire des Etats du Languedoc, mort en 1603, et de sa femme morte en 1597. On lira avec beaucoup d’intérêt pour la connaissance des relations entre Mervilla et la maison de Fieubet, la notice que Letisserand de Sayrac a consacrée à Arnaud de Fieubet dont l’extrait suivant : ” Arnaud de Fieubet avait voulu être enseveli avec Jacqueline – ou plus simplement Jacquette – de Madron, sa femme, en l’église de Mervilla. Tous deux y reposent encore, à gauche du maître-autel, « du costé de l’Evangile » et de leur chapelle, sous une grande dalle de pierre où leurs armoiries, sont gravées au trait 26 au-dessus de l’épitaphe suivante : HIC. CONDVNTVR. CINERES. NOBIL. VIRI. ARNALDI. DE. FILEVBET. DOMINI. DE. GODETZ. A *SECRETIS. COMITIORVM. GENERALIVM. OCCITA. NL2E. ET. CLARISSLM~E. CONJVGIS. JACOBAE. DE. MADRON. EX. NOBILE. FAMILIA. NAM. VT. ET. TVMVLO . SICVT . ET . THALAMO . JVNCTI . ETERNVM. QVIESCANT… « Afin que, unis dans la tombe comme dans le lit conjugal, ils reposent éternellement.. ».”
Guillaume de Fieubet