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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Monlezun-d’Armagnac , est le même dans toute les villes Gers , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Monlezun-d’Armagnac (Montlasun d’Armanhac en gascon) est une commune française située dans l’ouest du département du Gers en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Bas-Armagnac, ou Armagnac noir, un pays s’inscrivant entre les vallées de l’Auzoue, la Gélise, la Douze et du Midou.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Midouze, l’Izaute, la Madone et par divers autres petits cours d’eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (le « réseau hydrographique du Midou et du Ludon ») et deux zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique.
Monlezun-d’Armagnac est une commune rurale qui compte 205 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 413 habitants en 1891. Ses habitants sont appelés les Monlezunois ou Monlezunoises.
Monlezun-d’Armagnac est une commune située en Armagnac sur l’Izaute.
Monlezun-d’Armagnac se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible).
La commune est dans le bassin de l’Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne. Elle est drainée par la Midouze, l’Izaute, la Madone, le ruisseau de Mouliot et par deux petits cours d’eau, qui constituent un réseau hydrographique de 7 km de longueur totale[4][Carte 1].
La Midouze, d’une longueur totale de 151,5 km, prend sa source dans la commune d’Armous-et-Cau et s’écoule du sud-est vers le nord-ouest puis vers l’ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l’Adour à Vicq-d’Auribat, après avoir traversé 46 communes.
L’Izaute, d’une longueur totale de 37,5 km, prend sa source dans la commune de Dému et s’écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Gélise à Castelnau d’Auzan Labarrère, après avoir traversé 11 communes.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l’éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu’en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l’encadré ci-après.
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l’Énergie et du Climat complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Aire Mestade », sur la commune d’Aire-sur-l’Adour, mise en service en 1991 et qui se trouve à 16 km à vol d’oiseau[13][Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,8 °C et la hauteur de précipitations de 915,2 mm pour la période 1981-2010. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, dans le département des Landes, mise en service en 1945 et à 29 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000, à 13,5 °C pour 1981-2010[17], puis à 13,9 °C pour 1991-2020.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : le « réseau hydrographique du Midou et du Ludon »[20], d’une superficie de 6 542 ha, un site présentant une diversité d’habitats relativement importante, malgré une faible représentativité des habitats d’intérêt communautaire.
L’inventaire des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1 est recensée sur la commune[22] : la « forêt de Monlezun-d’Armagnac » (150 ha), couvrant 4 communes du département et une ZNIEFF de type 2[Note 6][22] : le « réseau hydrographique du Midou et milieux annexes » (6 344 ha), couvrant 43 communes dont 37 dans le Gers et six dans les Landes.
Monlezun-d’Armagnac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2][I 3].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (80,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (78,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37,8 %), terres arables (31,3 %), forêts (19,2 %), cultures permanentes (11,7 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 2].
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].
En 2019, la commune comptait 205 habitants, en augmentation de 3,54 % par rapport à 2013 (Gers : +0,58 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 95 ménages fiscaux, regroupant 204 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 710 €[I 4] (20 820 € dans le département).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s’élève à 113 personnes, parmi lesquelles on compte 77,9 % d’actifs (69 % ayant un emploi et 8,8 % de chômeurs) et 22,1 % d’inactifs,. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu’il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.
La commune est hors attraction des villes,. Elle compte 34 emplois en 2018, contre 36 en 2013 et 38 en 2008. Le nombre d’actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 80, soit un indicateur de concentration d’emploi de 42,4 % et un taux d’activité parmi les 15 ans ou plus de 52,6 %[I 10].
Sur ces 80 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 24 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants. Pour se rendre au travail, 82,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,8 % s’y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 13,8 % n’ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
15 établissements sont implantés à Monlezun-d’Armagnac au [I 13]. Le secteur de l’industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu’il représente 40 % du nombre total d’établissements de la commune (6 sur les 15 entreprises implantées à Monlezun-d’Armagnac), contre 12,3 % au niveau départemental.
La commune est dans le Bas-Armagnac, une petite région agricole occupant une partie ouest du département du Gers. En 2020, l’orientation technico-économique de l’agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (28 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 517 ha,,.