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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Montégut-Lauragais , est le même dans toute les villes Haute-Garonne , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Montégut-Lauragais (Montagut de Lauragués en occitan) est une commune française située dans le nord-est du département de la Haute-Garonne et la région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l’ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Laudot, le Peyrencou et par divers autres petits cours d’eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d’une zone naturelle d’intérêt écologique, faunistique et floristique.
Montégut-Lauragais est une commune rurale qui compte 423 habitants en 2019. Elle fait partie de l’aire d’attraction de Revel. Ses habitants sont appelés les Montégutois ou Montégutoises.
La commune de Montégut-Lauragais se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Elle se situe à 41 km à vol d’oiseau de Toulouse, préfecture du département, et à 7 km de Revel[2], bureau centralisateur du canton de Revel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Revel[I 1].
Les communes les plus proches sont[3] : Nogaret (1,7 km), Roumens (1,7 km), Saint-Julia (2,4 km), Montgey (3,6 km), Saint-Félix-Lauragais (4,4 km), Puéchoursi (4,5 km), Garrevaques (4,8 km), Falga (5,1 km).
Sur le plan historique et culturel, Montégut-Lauragais fait partie du Lauragais, occupant une vaste zone, autour de l’axe central que constitue le canal du Midi, entre les agglomérations de Toulouse au nord-ouest et Carcassonne au sud-est et celles de Castres au nord-est et Pamiers au sud-ouest. C’est l’ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ».
Montégut-Lauragais est limitrophe de cinq autres communes.
La superficie de la commune de Montégut-Lauragais est de 772 hectares. Son altitude varie de 188 à 258 mètres.
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne. Elle est drainée par le Laudot, le Peyrencou et par divers petits cours d’eau, constituant un réseau hydrographique de 7 km de longueur totale[8][Carte 1].
Le Laudot, d’une longueur totale de 22,9 km, prend sa source dans la commune des Les Cammazes (81) et s’écoule vers l’ouest puis se réoriente au nord. Il traverse la commune et se jette dans le Sor à Garrevaques (81), après avoir traversé 10 communes.
Le Peyrencou, d’une longueur totale de 15,1 km, prend sa source dans la commune et s’écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans Le Girou à Villeneuve-lès-Lavaur (81), après avoir traversé 7 communes.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l’éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu’en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l’encadré ci-après.
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l’Énergie et du Climat complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Revel », sur la commune de Revel, mise en service en 1928 et qui se trouve à 7 km à vol d’oiseau[17][Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 845,4 mm pour la période 1981-2010. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, dans le département de l’Aude, mise en service en 1948 et à 46 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000, à 14,1 °C pour 1981-2010[21], puis à 14,5 °C pour 1991-2020.
L’inventaire des zones naturelles d’intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1 est recensée sur la commune[23] : le « coteau entre Saint-Felix-Lauragais et Montégut-Lauragais » (114 ha), couvrant 3 communes du département.
Montégut-Lauragais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Revel, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3][I 4].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (93,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,6 %), zones urbanisées (6,4 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 2].
Accès avec les lignes régulières de transport interurbain réseau Arc-en-ciel (anciennement SEMVAT).
Le village était originellement situé face à son site actuel, sur la Lande, au lieu-dit les Mazières (date à chercher). Ce nom apparaissait d’ailleurs dans l’ancien nom du village, Montégut les Maziers, sur les cartes de Cassini. L’ancien site est marqué par une croix de bois, au bord de la D67f. Elle marque en fait l’emplacement de l’ancien cimetière (des ossements sont d’ailleurs visibles dans le talus qui lui fait face).
Le village a déménagé pour son site actuel, autour de l’ancien château (site occupé par l’actuelle école du village), probablement à cause des divers évènements qui ont jalonné l’histoire du Lauragais (guerre des Albigeois, etc.).
Le village était situé sur le tracé du Train noir qui reliait Revel à Toulouse, entre 1907 et 1947, et possédait une gare, encore visible en contrebas de la D 1. Il comptait à cette époque deux cafés et une épicerie. Fait rare, il comptait dans les années 1990 encore deux stations-service (dont un garage) pour 350 habitants, mais aujourd’hui fermées.
Le nombre d’habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l’élection de 2014 est de onze,.
La commune fait partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne communauté de communes du Lauragais-Revel-Sorèzois et du canton de Revel (Montégut-Lauragais faisait partie de l’ex-canton de Saint Félix) et de la septième circonscription de la Haute-Garonne jusqu’en 2012.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].
En 2019, la commune comptait 423 habitants, en diminution de 10,95 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
La population a augmenté par vagues successives, dans les années 1980, puis depuis 2000. De nouveaux lotissements sortent de terre. Le dernier recensement remonte à 2006, la population s’élève donc à 441 habitants soit + 23 % par rapport à 1999.
Montégut-Lauragais est située dans l’académie de Toulouse.
L’école est un RPI entre les communes de Montégut-Lauragais, Saint-Julia-de-Gras-Capou, Roumens, Le Cabanial et Nogaret.
Pour faire face au risque de fermeture de l’école communale, la municipalité s’est engagée dans les années 1980-1990 dans la voie du regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les communes voisines de Saint-Julia-de-Gras-Capou, Roumens et Le Cabanial. Ce regroupement a permis de sauvegarder les écoles et de proposer des services comme un ramassage scolaire financé par le conseil général de la Haute-Garonne. Par la suite, la commune de Nogaret a rejoint le RPI. Le succès de cette formule, dû en partie à l’accroissement de la population, a été tel que les municipalités du regroupement ont décidé d’un unique groupe scolaire intercommunal, pour remplacer les locaux actuels. Ce nouveau groupe scolaire, dit “des Cinq Clochers”, est situé sur la commune de Saint-Julia-de-Gras-Capou. Il a ouvert à la rentrée de avec un total de six classes (maternelles et primaires),.
Fête locales en mi juin, foyer rural, belote, vide-greniers,
Le village a accueilli une partie du tournage du film Le Petit Garçon.
Chasse, randonnée pédestre, pétanque,
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l’environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du Lauragais-Revel-Sorèzois.
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 176 ménages fiscaux, regroupant 444 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 070 €[I 5] (23 140 € dans le département).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s’élève à 271 personnes, parmi lesquelles on compte 78,2 % d’actifs (73,1 % ayant un emploi et 5,2 % de chômeurs) et 21,8 % d’inactifs,. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l’aire d’attraction de Revel, du fait qu’au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle,. Elle compte 29 emplois en 2018, contre 40 en 2013 et 36 en 2008. Le nombre d’actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 201, soit un indicateur de concentration d’emploi de 14,7 % et un taux d’activité parmi les 15 ans ou plus de 59,1 %[I 11].
Sur ces 201 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 24 travaillent dans la commune, soit 12 % des habitants. Pour se rendre au travail, 90,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5 % les transports en commun, 3,5 % s’y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,5 % n’ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
35 établissements sont implantés à Montégut-Lauragais au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d’activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12][I 14].
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l’hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu’il représente 25,7 % du nombre total d’établissements de la commune (9 sur les 35 entreprises implantées à Montégut-Lauragais), contre 25,9 % au niveau départemental.
La commune de Montégut-Lauragais est essentiellement agricole céréales, élevage et tourisme.
Le parc éolien du Lauragais, composé de onze machines réparties sur trois communes – six éoliennes sur la commune de Saint-Félix-Lauragais, quatre sur Roumens et une sur Montégut-Lauragais – a été mis en service fin 2008. Il est exploité par la société Voltalia. Il a une puissance nominale totale installée de 18,37 MW. La production annuelle est estimée à 45 GW.h, et alimente en électricité, chauffage compris, via le poste source EDF de Revel, un peu plus de 10 000 foyers.
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol. En 2020, l’orientation technico-économique de l’agriculture[Note 13] sur la commune est la culture de céréales et/ou d’oléoprotéagineuses.
Le nombre d’exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 16 lors du recensement agricole de 1988 à 9 en 2000 puis à 12 en 2010[47] et enfin à 12 en 2020, soit une baisse de 25 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l’échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[48][Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 513 ha en 1988 à 855 ha en 2020. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 32 à 71 ha[47].