Faites votre demande de carte grise en ligne et recevez là directement chez vous en faisant confiance à un professionnel agréé par le ministère de l’Intérieur N°33958
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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Péone , est le même dans toute les villes Alpes-Maritimes , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Péone est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Ses habitants sont appelés les Péoniens.
La partie urbanisée de la station d’altitude de Valberg est, pour l’essentiel située sur la commune de Péone au col du Quartier à 1 700 m d’altitude. Ainsi s’explique l’usage de la dénomination Péone-Valberg. En effet, c’est seulement le domaine skiable de la station de sports d’hiver de Valberg qui s’étend, d’ouest en est, sur les trois communes de Guillaumes, Péone et Beuil.
Péone est une commune rurale,. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee[2][3].
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[4][5].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des forêts et milieux semi-naturels (91,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (34 %), forêts (29 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (28,7 %), prairies (5,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,2 %), zones urbanisées (0,3 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[7].
Après la conquête romaine (achevée en 14 av. J.-C.), Auguste organise les Alpes en provinces. Le territoire de l’actuelle commune de Péone dépend de la province des Alpes-Maritimes et est rattaché à la civitas de Glanate (Glandèves). À la fin de l’Antiquité, le diocèse de Glandèves reprend les limites de cette civitas.
La tradition voudrait que le comte Raimond Bérenger IV de Provence ait repeuplé au XIII siècle le village avec des familles d’origines catalanes, tradition à l’origine du surnom de « Catalans » donné autrefois aux habitants de Péone[9].
Une autre version voudrait que ce soient des ouvriers de passage dans ces lieux après avoir travaillé à la construction de Barcelonnette, qui auraient fondé là, vers 1240, un village qu’ils nommèrent d’après la ville natale de leur chef, Péona en Catalogne.
Malgré cette tradition permettant d’expliquer ce curieux nom de berger espagnol, le nom de Péone dérive plus vraisemblablement de Pédona (« hauteur rocheuse »), nom plus en rapport avec la topologie des lieux.
Sous l’autorité de la Maison de Savoie de la dédition de 1388 au plébiscite de 1860 excepté la période 1792 à 1814.
Pour toute cette période, on pourra se reporter utilement à la partie « 4 – Histoire » de l’article « Entraunes » rédigé pour l’essentiel par André Payan-Passeron.
Durant la guerre de Trente Ans (1618-1648), les milices locales du capitaine Boniface de Sauze, cernées par les Français, capitulèrent à Péone.
Française de 1792 à 1814, Péone est à nouveau française depuis le plébiscite de 1860
De 1870 à 1891, la commune compte plus de 600 habitants et c’est après 1891 que ses effectifs diminuent. Diminution induite par le développement général des sciences, des techniques et des transports caractérisé notamment par le processus d’industrialisation, l’accélération de la division du travail comme de la productivité horaire du travail et de la concentration du nombre des exploitations agricoles aux dépens des plus petites qui disparaissent. Et diminution de la population de Péone qui se manifeste ici aussi par un solde annuel négatif tant des décès par rapport aux naissances que des départs par rapport aux arrivées. Il s’agit du processus d’exode rural qui a débuté en France à partir de 1850, date à laquelle le maximum de population rurale est atteint avec 26,8 M de ruraux. Du fait de l’exode rural, la commune ne compte plus que 407 habitants en 1946. En 55 ans la commune a donc perdu un peu plus d’un tiers de ses effectifs. Mais, malgré la poursuite de l’exode rural aux dépens de la paysannerie, le développement de la station touristique et de sports d’hiver de Valberg[13] explique tant la croissance des effectifs de la commune à partir du recensement de 1962 que la poursuite de la mutation de son économie et donc de sa structure sociale.
L’histoire militaire de Péone durant l’entre deux-guerres et la guerre de 1939-45
Depuis le 1 janvier 2014, Péone fait partie de la communauté de communes des Alpes d’Azur. Elle était auparavant le siège de la communauté de communes de Cians Var, jusqu’à la disparition de celle-ci lors de la mise en place du nouveau schéma départemental de coopération intercommunale.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[16].
En 2019, la commune comptait 783 habitants, en diminution de 21,93 % par rapport à 2013 (Alpes-Maritimes : +1,25 %, France hors Mayotte : +2,17 %).