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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Pléchâtel , est le même dans toute les villes Ille-et-Vilaine , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Pléchâtel est une commune française située dans le département d’Ille-et-Vilaine en Région Bretagne. Elle appartient au canton de Bain-de-Bretagne et est rattachée à l’arrondissement de Redon.
Pléchâtel est situé à la confluence de la Vilaine et du Semnon.
Du point de vue de la richesse de la flore, Pléchatel se situe à la quatrième place des communes du département possédant dans leurs différents biotopes le plus de taxons, soit 637 pour une moyenne communale de 348 taxons et un total départemental de 1373 taxons (118 familles). On compte notamment 63 taxons à forte valeur patrimoniale (total de 207) ; 31 taxons protégés et 34 appartenant à la liste rouge du Massif armoricain (total départemental de 237) .
Un point de suivi de la qualité des eaux du Semnon est présent sur la commune.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l’Atlantique), répartie tout au long de l’année avec un léger maximum d’octobre à février[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l’encadré ci-après.
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l’Énergie et du Climat complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La-Noe-Blanche », sur la commune de La Noë-Blanche, mise en service en 1988 et qui se trouve à 10 km à vol d’oiseau[10][Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 752,6 mm pour la période 1981-2010. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 19 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000, à 12,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,4 °C pour 1991-2020.
Pléchâtel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19][20].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (84 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,6 %), zones agricoles hétérogènes (33,1 %), prairies (12,3 %), forêts (10 %), zones urbanisées (4,4 %), mines, décharges et chantiers (0,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[22].
Le nom de la localité est attesté sous les formes Plebs Castel en 875, Ploucastellum en 1050, Ploicastel en 1086.
Il s’agit d’une formation toponymique bretonne en Plé-, qui représente le vieux breton ploe « paroisse ». Ce mot est issu du latin plebs et avait en breton le sens précis de « paroisse pouvant baptiser », puis « paroisse »[24]. Il est suivi du vieux breton castel (> breton kastell) « fortification, château », francisé en châtel par la suite. D’où le sens général de « paroisse du château ».
Les traces de 4 maisons longues, dont trois entourées de palissades, datant du néolithique final, ont été découvertes sur le site de la Hersonnais en Pléchâtel.
Pléchâtel, dont l’appellatif initial pré-indique une origine bretonne, tire son nom d’un château qui se trouvait vraisemblablement au village actuel du Châtellier, situé sur les hauteurs dominant le cours du Semnon, ancienne frontière des Redons (pays de Rennes) et des Nannètes (pays de Nantes).
Après l’assassinat du roi Erispoë en novembre 857 par Salomon son cousin, ce dernier donne aux moines de l’abbaye Saint-Melaine de Redon près de la moitié du territoire de Pléchâtel. Le , Salomon est à son tour assassiné par Pascweten (son gendre), Guignon (son neveu) et Gurwant. Gurwant, qui va lui succéder, donne alors le reste de la paroisse à l’abbaye Saint-Sauveur de Redon qui fonde au XI siècle un prieuré. Avant de dépendre de l’évêché de Rennes, la paroisse de Pléchâtel dépendait originairement de l’évêché de Nantes[réf. souhaitée].
À partir de 1086, des religieux officient dans la chapelle prieurale dédiée à saint Martin : les moines occupent le prieuré jusqu’à la fin du XVII siècle. Les seigneurs et maisons nobles qui se partagent le territoire sont : Mainténiac, Le Plessis-Bardoult, La Touche, la Pungerais et Trélan. On cultivait la vigne à Pléchâtel dès le XIe siècle.
Jean Hue, Auguste et Albert Migaud (un père et son fils), de Pléchâtel, Bernard Lignel (de Louvigné-du-Désert) et Désiré Thierry (de Saint-Malo-de-Phily) furent exécutés à Suresnes le pour « trafic d’armes ».
Joseph Marchand est chef de gare à Pléchâtel depuis , lorsqu’il est arrêté le , son réseau ayant été démantelé (branche du réseau Overcloud). Après avoir été interrogé à Rennes, il est incarcéré à la prison d’Angers puis transféré à Fresnes le . Le , il comparaît avec 14 membres du groupe devant le tribunal militaire du Gross Paris (à l’hôtel Continental). Condamné à mort, il ne sera pas fusillé avec ses camarades au Mont Valérien. Bénéficiant d’un sursis d’exécution (il avait sauvé des enfants de la mort certaine dans une ferme pendant sa captivité en 1917), il poursuit sa détention à Fresnes jusqu’au . Classé NN, il est alors déporté en Allemagne. On a pu retracer son trajet depuis ce -approximativement- à partir d’archives et du code qui lui a été attribué : Convoi n°I 65 (KAE-prison de Karlsruhe, SO-prison de Sonnenburg). Il a dû arriver le à la prison de Plötzentsee quartier de Charlotennburg (Berlin) où il a été guillotiné le (décès n°1695/42 – matricule 2479/42). On peut voir une stèle posée par la SNCF en sa mémoire près de la gare.. A titre posthume il est fait (JO 19 sept. 1954) Chevalier de la légion d’honneur et reçoit la croix de guerre avec palme et la médaille de la résistance (cf. divers archives dont le livre sorti en 2017 sous la direction de Thomas Fontaine Cheminots victimes de la répression 1940-1945 aux éditions Perrin/SNCF)
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].
En 2019, la commune comptait 2 780 habitants, en augmentation de 3,27 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +5,84 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Le parc éolien de La belle Epine, d’une puissance nominale de 4 MW, est exploité depuis 2008 sur le territoire de la commune par l’entreprise InnoVent.