Faites votre demande de carte grise en ligne et recevez là directement chez vous en faisant confiance à un professionnel agréé par le ministère de l’Intérieur N°33958
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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Riom-ès-Montagnes , est le même dans toute les villes Cantal , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Riom-ès-Montagnes [ʁjɔ̃ ɛs mɔ̃taɲ] (Riòm de las Montanhas en occitan) est une commune française située dans le département du Cantal, en région d’Auvergne-Rhône-Alpes.
Ses habitants sont appelés les Riomois et Riomoises.
La commune de Riom-ès-Montagnes, principale ville du « Pays Gentiane », se situe au nord-ouest du département du Cantal, et au cœur du parc naturel régional des volcans d’Auvergne.
Située entre les Monts Dore et les Monts du Cantal à une altitude de 840 mètres, Riom-ès-Montagnes compte 2 479 habitants.
La rivière Véronne, traverse Riom-ès-Montagnes. Elle se jette dans la Petite Rhue[3] qui marque la limite entre Riom-ès-Montagnes et les communes voisines de Marchastel et Saint-Amandin.
Le barrage de Journiac se trouve en partie sur la commune, sur la Petite Rhue à la limite avec Saint-Amandin.
D’autres cours d’eau sillonnent la commune comme le ruisseau de la Grolle, le ruisseau du Cheylat[5], le Soulou…
Le climat est un climat de montagne où l’on observe en hiver une fréquente présence du gel et de la neige et en été des journées pouvant être chaudes et ensoleillées suivies des nuits plus fraîches. Le printemps et l’automne se caractérisent par l’abondance de journées pluvieuses et la présence fréquente du brouillard.
Les données climatiques observées à Riom-ès-Montagnes sont sensiblement les mêmes que celles relevées à Aurillac.
Riom-ès-Montagnes est une commune rurale,. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee[10][11]. Elle appartient à l’unité urbaine de Riom-ès-Montagnes, une unité urbaine monocommunale de 2 479 habitants en 2019, constituant une ville isolée[I 2][I 3]. La commune est en outre hors attraction des villes,.
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (69,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (70,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (56,2 %), forêts (22,9 %), zones agricoles hétérogènes (13,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,5 %), zones urbanisées (3,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %), zones humides intérieures (0,1 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 1].
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 709, alors qu’il était de 1 777 en 2013 et de 1 721 en 2008.
Parmi ces logements, 73,5 % étaient des résidences principales, 10,5 % des résidences secondaires et 16 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 65,9 % d’entre eux des maisons individuelles et pour 34 % des appartements.
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Riom-ès-Montagnes en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (10,5 %) inférieure à celle du département (20,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d’occupation de ces logements, 63 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (61,6 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière.
Autrefois très utilisé, le transport ferroviaire reste toujours actif grâce au Gentiane express, train touristique qui circule en Haute-Auvergne, s’arrête en gare de Riom-ès-Montagnes et reprend partiellement l’ancienne ligne de Bort-les-Orgues à Neussargues. Cette ligne fut inaugurée le .
Louis Bonnet, créateur de « l’Auvergnat de Paris » a été un précurseur dans ce qui est appelé de nos jours les « voyages organisés ». En 1904, il crée les trains qui portent son nom. Jusqu’en 1939, ils conduisent, à prix réduit, chaque printemps et chaque été, des compatriotes au pays. Une ambiance toute particulière règne dans ces wagons, comme il se doit entre Auvergnats : cabrette et casse-croûte, bourrée sur le quai, à chaque arrêt. Ces voyages passeront à Riom-ès-Montagnes en 1923.
Deux axes se croisent sur dans la ville, l’axe Mauriac/Condat et l’axe Bort-les-Orgues/Murat/Saint-Flour.
La route nationale 678 qui allait de Laguenne à La Sauvetat en passant par Mauriac, Riom-ès-Montagnes et Condat est déclassée en « route départementale 678 » sur le département du Cantal.
Du gaulois rigomagos signifiant le marché du roi. Issu du mot gaulois Rix ou rig, le « roi » local, celui qui percevait sans doute les droits de marché, accompagné du mot gaulois magos qui a d’abord désigné un simple champ, puis un champ de foire, un marché et enfin le village ou la ville qui se développe autour de ce marché.
Sa création remonte à l’époque gallo-romaine ancienne comme en témoigne le nom même de la ville.
Un centre de rééducation fonctionnelle pour la réadaptation de malades respiratoires est en construction (2009).
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[19].
En 2019, la commune comptait 2 479 habitants, en diminution de 9,29 % par rapport à 2013 (Cantal : −1,59 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d’un âge inférieur à 30 ans s’élève à 21,9 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (27,0 %). À l’inverse, le taux de personnes d’un âge supérieur à 60 ans (44.0 %) est supérieur au taux départemental (35,5 %).
En 2018, la commune comptait 1 149 hommes pour 1 342 femmes, soit un taux de 53,87 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,13 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s’établissent comme suit :
La communauté de communes du Pays Gentiane, l’Office culturel du Pays Gentiane, l’Office de tourisme du Pays Gentiane, la bibliothèque municipale et le milieu associatif en général organisent également plusieurs rendez-vous culturels de septembre à juin (concerts, théâtre, danse, expositions, compétitions sportives…).
Riom est essentiellement un pôle tertiaire qui employait 1335 personnes en 2012. La santé constitue le premier secteur d’emploi (environ 450 personnes). La ville compte plus de 100 commerçants et artisans ainsi qu’une centaine d’emplois relevant d’administrations centrales (Poste, Trésor Public…)[25].
Riom compte une cinquantaine d’agriculteurs. L’élevage de bovins de la race locale Salers joue un rôle important.
La fabrication du cantal et du bleu d’Auvergne constitue la principale activité du secteur agroalimentaire. La Société fromagère de Riom est la principal entreprise dans ce domaine qui emploie 180 personnes. Plus de la moitié de la production de Bleu d’Auvergne provient de Riom. La première laiterie est ouverte en 1900 par Charles Seroude et de 1949 à 1958, La vache qui rit y sera fabriquée. L’usine regroupe environ 1 000 agriculteurs au sein de l’UCFC.
Une marque de liqueur de gentiane, l’Avèze est produite localement et emploie quelques personnes.
Chemviron, filiale de Calgon Carbon, dispose à Riom d’un des trois sites de transformation de la diatomite en France. Celle-ci est extraite d’une carrière située sur la commune de Virargues. L’entreprise emploie une cinquantaine de personnes à Riom.
Autres lieux :