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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Saint-Saud-Lacoussière , est le même dans toute les villes Dordogne , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Saint-Saud-Lacoussière est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord-Limousin.
Au nord du département de la Dordogne, en Périgord vert, la commune de Saint-Saud-Lacoussière se trouve dans le parc naturel régional Périgord-Limousin. Son territoire est arrosé du nord-est à l’ouest par la Dronne, principal affluent de l’Isle. Elle est également bordée par un affluent de la Côle, la Queue d’âne, qui lui sert de limite sur 500 mètres à l’est avec la commune de Mialet et sur cinq kilomètres au sud-est avec celle de Saint-Jory-de-Chalais. Avec un peu plus de 58 km de superficie[1], c’est la dixième commune la plus étendue du département.
Le bourg de Saint-Saud-Lacoussière, implanté à moins d’un kilomètre de la Dronne et traversé par la route départementale 79, se situe, en distances orthodromiques, douze kilomètres à l’est de Nontron et seize kilomètres au nord-nord-ouest de Thiviers.
La commune est également desservie par les routes départementales 82 et 85.
Entre la Valade au sud-est et la Chapelle Verlaine au nord-ouest, le sentier de grande randonnée GR 654 parcourt le territoire communal sur une douzaine de kilomètres en passant par le bourg.
Saint-Saud-Lacoussière est limitrophe de huit autres communes dont une dans le département de la Haute-Vienne.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d’une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Saud-Lacoussière est dans le gradin extrême nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formées au Paléozoïque, antérieurement au Carbonifère.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques et magmatiques. La formation la plus ancienne, notée λ, se compose de quartzo-leptynites à biotite et muscovite, en intercalations dans les métaschistes (groupe de la Dronne, Néoprotérozoïque à Cambrien). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « n 711 – Châlus » et « no 735 – Thiviers » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine, et leurs notices associées[5][6].
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L’altitude du territoire communal varie quant à elle entre 189 mètres à l’ouest, près du lieu-dit Larret, là où la Dronne, en aval du saut du Chalard, quitte la commune pour servir de limite entre celles de Champs-Romain et Saint-Pardoux-la-Rivière, et 370 mètres[7] à l’extrême nord, sur la route départementale 6b, en limite des communes de Mialet et Pensol.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [9]. Les paysages du département s’organisent en huit unités paysagères,. La commune est dans l’unité paysagère du « Périgord limousin » qui correspond à la région naturelle du Nontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des 300 m dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers[11][12].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 58,04 km[13][Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l’IGN, est quant à elle de 59,89 km[4].
La commune est située pour partie dans le bassin de la Dordogne et pour partie dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne. Elle est drainée par la Dronne, la Queue d’Ane, le Manet, le ruisseau de la Malincourie, le ruisseau de la Bucherie, le ruisseau de Larret, le ruisseau de Rébière, le ruisseau de Vergne-Nègre et par divers petits cours d’eau, qui constituent un réseau hydrographique de 51 km de longueur totale[17][Carte 1].
La Dronne, d’une longueur totale de 200,6 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Bussière-Galant et se jette en rive droite de l’Isle en limite de Sablons et de Coutras en Gironde, après avoir traversé 54 communes.
La Queue d’âne, d’une longueur totale de 18,61 km, prend sa source dans la commune de Mialet et se jette dans la Côle à Saint-Jean-de-Côle, après avoir traversé cinq communes.
Le territoire communal est couvert par les schémas d’aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Isle – Dronne ». Le SAGE « Charente », dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d’une superficie de 9 300 km, a été approuvé le . La structure porteuse de l’élaboration et de la mise en œuvre est l’établissement public territorial de bassin Charente[20]. Le SAGE « Isle – Dronne », dont le territoire regroupe les bassins versants de l’Isle et de la Dronne, d’une superficie de 7 500 km, a été approuvé le . La structure porteuse de l’élaboration et de la mise en œuvre est l’établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[21]. Il définissent chacun sur leur territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le .
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l’Atlantique), répartie tout au long de l’année avec un léger maximum d’octobre à février[24].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l’encadré ci-après.
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l’Énergie et du Climat complétée par des études régionales[28] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982 et qui se trouve à 12 km à vol d’oiseau[30][Note 6], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 199 mm pour la période 1981-2010. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 48 km[32], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000, à 11,4 °C pour 1981-2010[34], puis à 11,8 °C pour 1991-2020.
Saint-Saud-Lacoussière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,. La commune est en outre hors attraction des villes[39][40].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (57,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,8 %), zones agricoles hétérogènes (41,5 %), prairies (15,1 %), zones urbanisées (0,9 %), terres arables (0,6 %).
L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l’IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 3].
En occitan, la commune porte le nom de Sensaut e la Cossiera.
Au XIII siècle, Saint-Saud (appelée Sensaut) était l’une des vingt-sept paroisses dépendant de l’archiprêtré de Condat dont le siège se situait à Champagnac[43].
La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de La Coussière-sur-Dronne.
Fin 1995, Saint-Saud-Lacoussière intègre dès sa création la communauté de communes du Périgord vert. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Périgord vert nontronnais. Au , celle-ci fusionne avec la communauté de communes du Haut-Périgord pour former la communauté de communes du Périgord Nontronnais.
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020,.
Dans le domaine judiciaire, Saint-Saud-Lacoussière relève :
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[50].
En 2019, la commune comptait 827 habitants, en diminution de 3,73 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
En 2015, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 294 personnes, soit 34,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trente-six) a augmenté par rapport à 2010 (vingt-quatre) et le taux de chômage de cette population active s’établit à 12,2 %.
Au , la commune compte 103 établissements, dont 46 au niveau des commerces, transports ou services, 31 dans l’agriculture, la sylviculture ou la pêche, seize dans la construction, six dans l’industrie, et quatre relatifs au secteur administratif, à l’enseignement, à la santé ou à l’action sociale[56].