Commander votre carte grise en ligne et recevez là directement chez vous en faisant confiance à un professionnel agréé par le ministère de l’Intérieur N°33958
Suite à l’acquisition d’un véhicule d’occasion
Vous avez où vous allez déménager
Votre carte grise a été volée ou perdue
Suite à un divorce, mariage, ou un décès.
Vous avez cédé votre véhicule
Vous venez d’acheter un véhicule neuf
Suite à l’acquisition d’un véhicule d’occasion
Vous avez où vous allez déménager
Votre carte grise a été volée ou perdue
Suite à un divorce, mariage, ou un décès.
Vous avez cédé votre véhicule
Vous venez d’acheter un véhicule neuf
Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Saint-Sulpice-d’Excideuil , est le même dans toute les villes Dordogne , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Saint-Sulpice-d’Excideuil est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Dans le quart nord-est du département de la Dordogne, la commune de Saint-Sulpice-d’Excideuil est arrosée par le Ravillou, un capricieux affluent de la Loue qui prend sa source sur la commune, près du lieu-dit les Champs. Il sert de limite communale avec Corgnac-sur-l’Isle au sud-ouest sur environ deux kilomètres. Au nord, le Lavaud, un affluent de l’Isle, marque la limite communale avec Sarrazac sur cinq kilomètres.
Traversé par la route départementale (RD) 77, le bourg de Saint-Sulpice-d’Excideuil se situe, en distances orthodromiques, sept kilomètres au nord-ouest du bourg d’Excideuil et autant au sud-est de Thiviers.
Un kilomètre au nord du bourg, le principal accès à la commune est la RD 707 (l’axe Lanouaille – Nontron).
Saint-Sulpice-d’Excideuil est limitrophe de sept autres communes, dont Saint-Jory-las-Bloux au sud-ouest sur environ 150 mètres.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d’une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Sulpice-d’Excideuil est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque et du Paléozoïque, ainsi que de roches métamorphiques. La formation la plus ancienne, notée δψ, fait partie de l’Unité supérieure des gneiss (USG) et est composée d’éclogites et amphibolites dérivées, en petits corps ou bancs minces (Cambrien à Silurien). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d’alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « n 735 – Thiviers » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2][3] et sa notice associée.
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L’altitude du territoire communal varie quant à elle entre 159 mètres à l’extrême sud-ouest, en deux endroits distants de moins de 200 mètres, là où le Ravillou et son affluent le ruisseau des Vaux quittent la commune et entrent sur celle de Saint-Germain-des-Prés, et 327 mètres[5] dans le nord, environ 600 mètres au sud-ouest du lieu-dit Boueysseix.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s’organisent en huit unités paysagères,. La commune est dans l’unité paysagère du « Périgord limousin » qui correspond à la région naturelle du Nontronnais. Ce territoire forme un plateau collinaire aux pentes douces et sommets arasés, d’altitude moyenne autour des 300 m dont le point culminant est également celui de la Dordogne. Ce plateau cristallin est vallonné et dominé par les prairies aux horizons boisés. Il est entaillé de vallées profondes aux versants forestiers[9][10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 19,72 km[11][Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l’IGN, est quant à elle de 19,4 km[3].
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne. Elle est drainée par le Lavaud, le Ravillou, la Torte Sabate, Les Vaux et par divers petits cours d’eau, qui constituent un réseau hydrographique de 15 km de longueur totale[15][Carte 1].
Le Lavaud, d’une longueur totale de 10,5 km, prend sa source dans la commune de Dussac et se jette dans l’Isle en limite de Nantheuil, de Sarrazac et de Nanthiat, après avoir traversé cinq communes.
Le Ravillou, d’une longueur totale de 13,13 km, prend sa source dans la commune de Dussac et se jette dans la Loue à Coulaures, après avoir traversé sept communes.
Le territoire communal est couvert par le schéma d’aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle – Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l’Isle et de la Dronne, d’une superficie de 7 500 km, a été approuvé le . La structure porteuse de l’élaboration et de la mise en œuvre est l’établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le .
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l’Atlantique), répartie tout au long de l’année avec un léger maximum d’octobre à février[21].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l’encadré ci-après.
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l’Énergie et du Climat complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982 et qui se trouve à 17 km à vol d’oiseau[27][Note 6], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 199 mm pour la période 1981-2010. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 48 km[29], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000, à 12,7 °C pour 1981-2010[31], puis à 13,0 °C pour 1991-2020.
Saint-Sulpice-d’Excideuil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,. La commune est en outre hors attraction des villes[36][37].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (75,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (53,7 %), forêts (24,7 %), prairies (20,8 %), cultures permanentes (0,8 %).
L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l’IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 3].
Outre le bourg de Saint-Sulpice-d’Excideuil proprement dit, la commune rassemble de nombreux lieux-dits parmi lesquels les plus importants en termes de bâti sont : Boueix, Boueysseix, le Pic, Prémilhac, Puyfranc et les Valettes.
En occitan, la commune porte le nom de Sent Soplesís d’Eissiduelh.
La paroisse appartenait dans le principe au vicomte de Limoges et relevait de la châtellenie d’Excideuil. Sa seigneurie fut vendue par Jean de Navarre à Etienne Vigier, seigneur de Prémillac. Elle fut engagée de nouveau par le domaine au seigneur de Planeaux et rachetée en 1547.
La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), le nom de « Sulpice-le-Calcaire », en référence à la nature calcaire de son sous-sol.
En 1943, un groupe du groupement 28 des Chantiers de la jeunesse s’est implanté au château d’Ygonie.
La commune de Saint-Sulpice-d’Excideuil a, dès 1790, été rattachée au canton de Dussac qui dépendait du district d’Excideuil jusqu’en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Lanouaille nouvellement créé et dépendant de l’arrondissement de Nontron.
Le canton de Lanouaille est supprimé aux élections départementales de . Saint-Sulpice-d’Excideuil est alors rattachée au canton d’Isle-Loue-Auvézère, dont le bureau centralisateur est fixé à Excideuil.
Fin 2002, Saint-Sulpice-d’Excideuil rejoint la communauté de communes Auvézère Loue qui, quelques mois plus tard, prend le nom de communauté de communes du Pays de Lanouaille. Celle-ci, agrandie en 2017, prend le nom de communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord.
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020,.
Dans le domaine judiciaire, Saint-Sulpice-d’Excideuil relève :
Les habitants de Saint-Sulpice-d’Excideuil se nomment les Saint Sulpiçois.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[49].
En 2019, la commune comptait 352 habitants, en augmentation de 12,46 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,88 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
En 2013, Saint-Sulpice-d’Excideuil est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les communes de Sarrazac et de Dussac au niveau des classes de primaire. La commune assure les classes de cours préparatoire et de cours élémentaire, alors que celles de cours moyen s’effectuent à Sarrazac, et celles de maternelle à Dussac.
En 2015, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 130 personnes, soit 40,5 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (douze) a légèrement diminué par rapport à 2010 (treize) et le taux de chômage de cette population active s’établit à 9,4 %.
Au , la commune compte trente-huit établissements, dont treize au niveau des commerces, transports ou services, douze dans l’agriculture, la sylviculture ou la pêche, sept dans la construction, trois relatifs au secteur administratif, à l’enseignement, à la santé ou à l’action sociale, et trois dans l’industrie[54].