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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Villers-sur-Fère , est le même dans toute les villes Aisne , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Villers-sur-Fère est une commune française située dans le département de l’Aisne, en région Hauts-de-France.
Villers-sur-Fère est une commune rurale,. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee[2][3].
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Château-Thierry, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 52 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[4][5].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (81,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,8 %), forêts (14,4 %), prairies (9,8 %), zones agricoles hétérogènes (8,8 %), zones urbanisées (4,2 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[7].
Durant la Première Guerre mondiale, la commune est proche du secteur de la bataille du Chemin des Dames. Le , alors qu’il est au repos à Villers-sur-Fère, le 18 RI apprend qu’il doit remonter en première ligne au Chemin des Dames plus tôt que prévu. Épuisés et démoralisés par les pertes effroyables qu’ils viennent de subir, les poilus refusent de repartir au front. Le lendemain, trente gendarmes sont dépêchés et 130 arrestations sont opérées au sein du régiment. Le Conseil de guerre de la 36e division, réuni le , prononce cinq condamnations à mort. Sur les cinq hommes, un est gracié par le président de la République, trois sont fusillés le , Jean-Louis Lasplacettes, Casimir Canel et Alphonse Didier. Le cinquième, le caporal Vincent Moulia (1888-1984), parvient à s’évader la veille de l’exécution, favorisé dans son entreprise par le hasard d’un bombardement allemand sur le secteur où les condamnés sont détenus. Il vivra réfugié en Espagne jusqu’en 1936.
Le , 35 résistants du réseau dirigé par l’abbé Moret participèrent, vers 4 h 00, à la réception d’un parachutage d’armes malgré la présence des Allemands dans les alentours. Les armes récupérées, les résistants se séparèrent pour regagner leur village. Mais à Villers-sur-Fère, le groupe de Fère-en-Tardenois fut arrêté par les Allemands à un carrefour : Paul Cœuret, René Deneuville, Louis Deslandes, Arsène Lechat, Pierre Jacquet et Georges Thunière faits prisonniers furent torturés à la prison de Château-Thierry où les rejoignirent quatre de leurs camarades arrêtés eux aussi : Albert Bayard, Robert Dubois, Pierre Plaie et Paul Vincent. Les dix hommes furent transférés à la prison de Saint-Quentin puis au camp de Royallieu à Compiègne et déportés dans les camps de concentration en Allemagne. Seuls trois d’entre eux en sont revenus.
Tous les ans, le dernier dimanche d’avril une cérémonie du souvenir leur rend hommage.
La commune de Villers-sur-Fère est membre de la communauté d’agglomération de la Région de Château-Thierry, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Étampes-sur-Marne. Ce dernier est par ailleurs membre d’autres groupements intercommunaux[8].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l’arrondissement de Château-Thierry, au département de l’Aisne et à la région Hauts-de-France. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Fère-en-Tardenois pour l’élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[9], et de la cinquième circonscription de l’Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[14].
En 2019, la commune comptait 531 habitants, en augmentation de 2,51 % par rapport à 2013 (Aisne : −1,61 %, France hors Mayotte : +2,17 %).