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Le prix de la carte grise est calculé en fonction du coût du cheval fiscal fixé par le conseil régional.
A ce montant peut s’ajouter d’autres taxes qui sont généralement tributaires du véhicule : la date de sa mise en circulation, son ancienneté, le type du carburant, son taux d’émission de CO2,…
Le prix du cheval fiscal à Voulgézac , est le même dans toute les villes Charente , et est imposé aussi bien par l’ANTS que par FCGE Paris.
Habilitation préfecture: N°24267
Agrément N°: 33958
Voulgézac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Ses habitants sont les Voulgézacois et les Voulgézacoises.
Voulgézac est une commune du Sud Charente située à 8 km au nord-est de Blanzac et 16 km au sud d’Angoulême.
Le bourg de Voulgézac est aussi à 5 km au sud de Mouthiers-sur-Boëme, 13 km au nord de Montmoreau, 13 km à l’ouest de Villebois-Lavalette et 22 km à l’est de Barbezieux.
La D 674, route d’Angoulême à Montmoreau et Libourne passe à l’est de la commune, à 3 km du bourg. La D 12, route de Blanzac à Angoulême par Mouthiers, traverse l’ouest de la commune et passe près du bourg. La D 5, route de Barbezieux et Blanzac à Villebois, traverse l’extrémité sud de la commune et la D 22, route de Châteauneuf à Villebois, traverse le nord. Celle-ci traverse aussi la N 10 par un échangeur (10 km à l’ouest). Le bourg, tapi au fond d’un vallon, est desservi par la D 436, petite route qui relie la D 12 et la D 5.
La ligne Paris-Bordeaux traverse le nord-est de la commune, mais la gare la plus proche est maintenant celle de Montmoreau desservie par des TER à destination d’Angoulême et de Bordeaux.
L’habitat est assez dispersé et la commune compte de nombreux petits hameaux. Parmi les plus importants, on peut citer Nanteuillet au nord, le Plessac sur la route d’Angoulême à Blanzac, Vesne à l’est, Puychabot au sud du bourg. Les fermes isolées sont nombreuses, comme dans une grande partie du département.
La commune est occupée par des plateaux calcaires du Crétacé. On trouve le Coniacien et le Santonien sur la partie nord de la commune, le Coniacien dans les zones plus basses, et même une petite partie d’Angoumien supérieur dans la vallée de la Boëme, à Nanteuillet (calcaire à rudistes). Le sud de la commune est occupé par le Campanien, et une cuesta assez creusée et par paliers faisant face au nord-est et qui passe au sud du bourg marque un dénivelé sensible. On peut suivre cet escarpement d’est en ouest dans tout le sud de la Charente, entre Gurat et le sud de Cognac, par Jurignac et Bouteville.
Les sommets boisés au sud de la commune sont recouverts de dépôts du Tertiaire (Lutétien et Cuisien), composé de galets, sables et argiles. Ces dépôts ont été altérés lors du Quaternaire. On trouve aussi des colluvions du Pléistocène (sables argilo-calcaires) par endroits sur les flancs (bois du Plessac),,.
Le point culminant est à une altitude de 192 m, situé à l’ouest du bourg et au nord de la Martinière. Le point le plus bas est à 67 m, situé le long de la Boëme en aval de Nanteuillet. Le bourg est à 120 m d’altitude.
La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne. Elle est drainée par le Né et la Boëme et par divers petits cours d’eau, qui constituent un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[8][Carte 1].
Le Né, affluent de la Charente, prend sa source au sud de la commune à une altitude de 120 mètres. La fontaine du Né, la Fontaine qui bout et la fontaine du Bournat alimentent ces sources. On trouve aussi quelques petites retenues d’eau.
La Boëme, autre affluent de la Charente, prend sa source dans la commune voisine de Chadurie, fait la limite orientale de la commune, et traverse son extrémité nord à Nanteuillet. Le bourg de Voulgézac est situé le long d’un petit ruisseau intermittent se jetant dans la Boëme au niveau de Nanteuillet.
Le territoire communal est couvert par le schéma d’aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d’une superficie de 9 300 km, a été approuvé le . La structure porteuse de l’élaboration et de la mise en œuvre est l’établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le .
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Voulgézac est une commune rurale,. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l’Insee[13][14].
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction d’Angoulême, dont elle est une commune de la couronne. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15][16].
L’occupation des sols de la commune, telle qu’elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l’importance des territoires agricoles (70,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,5 %), forêts (29,3 %), zones agricoles hétérogènes (22 %), prairies (0,1 %).
L’IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIII siècle), la carte d’état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd’hui)[Carte 2].
Les formes anciennes sont Vogaziacum en 1121, Voilhazaco, Voiazac, Voiazac, Vogesiaco en 1273, Vogezaco vers 1300, Vosazaco[19].
L’origine du nom de Voulgézac remonterait à un nom de personne gallo-romain Vocatius, gentilé dérivé du nom des Vocates, peuple établi dans le Bazadais, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Vocatiacum, « domaine de Vocatius »,.
La commune a été créée Voulgezac (sans accent) en 1793, nom confirmé en 1801. Voulgezac est aussi écrit sans accent sur les cartes de Cassini (1750) et d’état-major (1850).
De nombreux vestiges attestent l’ancienneté de l’occupation.
Le site des Vachons date du Paléolithique supérieur. On y a retrouvé des burins de Noailles et des pièces du Raysse, armes/outils datant de plus de 25 000 ans.
Le chemin Boisné, ancienne voie romaine entre Saintes et Périgueux, traverse la commune d’est en ouest. Deux sites à tegulae ont été trouvés à proximité : aux Huttes, hauteur entre Vesne et le bourg de Voulgézac, et au Maine Large. D’après l’abbé Michon, le premier serait un site de voie, peut-être Sarrum,.
Dans le sud de la commune, le logis du Maine Large a appartenu aux familles de Ripes, de La Martonie, de Montbron, et en 1699, Desmazeaud (dont un membre, Jochim, fut juge sénéchal de la baronnie de Banzac), puis de Boisjoslin vers 1900. Au XIX siècle, le poète Alfred de Vigny fut l’un des hôtes les plus fidèles du Maine Large.
À la Révolution, la commune de Vougézac a été créée à partir des anciennes paroisses de Voulgézac et de Nanteuillet, et la cloche de cette dernière a été récupérée et refondue pour accompagner la cloche datant de 1578 de l’église de Voulgézac.
Au début du XX siècle, l’industrie était représentée par quelques moulins peu importants et une tuilerie située à la Meulière.
À la suite de la crise du phylloxéra, de nombreux vignobles avaient disparu et des terres étaient laissées en friche. Au tout début des années 1900, des agriculteurs venus de Vendée les ont remises en valeur.
Pendant la première moitié du XX siècle, la commune était desservie par une halte sur la ligne ferroviaire d’intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant de Blanzac à Villebois-Lavalette[26].
Voulgézac intègre en 2013 la communauté de communes de Charente-Boëme-Charraud, puis en 2017 le Grand Angoulême.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].
En 2019, la commune comptait 242 habitants, en diminution de 7,63 % par rapport à 2013 (Charente : −0,42 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d’un âge inférieur à 30 ans s’élève à 26,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l’inverse, le taux de personnes d’âge supérieur à 60 ans est de 32,5 % la même année, alors qu’il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 125 hommes pour 120 femmes, soit un taux de 51,02 % d’hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s’établissent comme suit.
La viticulture occupe une petite partie de l’activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d’appellation d’origine contrôlée du cognac.
L’école est un RPI entre Plassac-Rouffiac et Voulgézac, qui accueillent chacune une école élémentaire. L’école communale est située à la mairie, au bourg, et comprend une classe unique. Le secteur du collège est Blanzac.
L’église Notre-Dame de Voulgézac, fortifiée du XII siècle, est classée monument historique depuis 1903[36].
Les gisements préhistoriques des Vachons, du Paléolithique supérieur, lieu qui a donné son nom au « burin des Vachons ». C’est une propriété privée. Ces gisements ont été classés monument historique en 1927.
Juste au confluent de cette vallée et de la Boëme, le moulin de Nanteuillet et son jardin ont été inscrits monument historique le .